En Algérie, une région totalement ignorée et sa population violemment réprimée par les autorités algériennes ne cessent de réclamer son autodétermination depuis 1962, date de l'indépendance algérienne.
Cette région n'est autre que la Kabylie et sa population les Kabyles, un peuple Amazigh (Berbère), celui-là même qui a combattu seul pour libérer l'Algérie du joug colonialiste français et dont les leaders ont été assassinés sauvagement, torturés et emprisonnés dans des conditions qui dépassent l'entendement humain.
Dernier acte sauvage des responsables algériens la répression qui s'est abattue férocement sur le peuple Kabyle qui manifestait pacifiquement, le 14 juin 2017, dans la ville d'Azazga, proche de Tizi Ouzou, en hommage aux martyrs du Printemps noir de 2001.
Une nouvelle page noire vient d'être écrite par les responsables algériens quant au respect des Droits de l'Homme où l'on a pu constater l'arrestations musclée de centaines de manifestants, pour la majorité transférés aux urgences.
J'invite les lecteurs à visionner la vidéo mise en ligne par le quotidien algérien "Le Matin d'Algérie" où l'on voit nettement Madame Rachida Ider, Présidente de la Coordination Ouest du mouvement, violemment traînée par terre par des policiers qui se sont acharnés sur elle en la rouant de coups".
Face à cette sanglante répression des forces de sécurité algériennes, force est de s'interroger sur le silence complice de la classe politique algérienne, d'une certaine presse locale, des ONG's et autres associations de défenseur des Droits de l'Homme toujours promptes à s'attaquer au Maroc, notamment sur les évènements d'Al Hoceima.
Elles ont tout simplement occulté sciemment le fait que dans cette région marocaine, aucun décès n'a été déploré, contrairement en Kabylie ou Ghardaïa, où les morts se comptent par dizaines et les blessés par centaines et ce, sans parler du peuple Chaoui chez qui toute tentative d'expression est réprimée dans le sang.
En conclusion, en observant ces évènements du 14 juin 2017 en Kabylie, on constate que le pouvoir algérien ne peut en aucun cas se débarrasser des méthodes utilisées lors de la révolte du Front des Forces Socialistes (FSS) en 1963, pendant le printemps berbère en 1980, lors des événements d’octobre 1988 et en 2001, sans compter les autres événements moins marquants.
Entre les évènements de la région du Nord Maroc et ceux de Kabylie et de Ghardia, il ne peut y avoir possible comparaison car dans le premier cas il s'agit de revendications sociales, contrairement aux cas algériens qui sont politiques.
Cette région n'est autre que la Kabylie et sa population les Kabyles, un peuple Amazigh (Berbère), celui-là même qui a combattu seul pour libérer l'Algérie du joug colonialiste français et dont les leaders ont été assassinés sauvagement, torturés et emprisonnés dans des conditions qui dépassent l'entendement humain.
Dernier acte sauvage des responsables algériens la répression qui s'est abattue férocement sur le peuple Kabyle qui manifestait pacifiquement, le 14 juin 2017, dans la ville d'Azazga, proche de Tizi Ouzou, en hommage aux martyrs du Printemps noir de 2001.
Une nouvelle page noire vient d'être écrite par les responsables algériens quant au respect des Droits de l'Homme où l'on a pu constater l'arrestations musclée de centaines de manifestants, pour la majorité transférés aux urgences.
J'invite les lecteurs à visionner la vidéo mise en ligne par le quotidien algérien "Le Matin d'Algérie" où l'on voit nettement Madame Rachida Ider, Présidente de la Coordination Ouest du mouvement, violemment traînée par terre par des policiers qui se sont acharnés sur elle en la rouant de coups".
Face à cette sanglante répression des forces de sécurité algériennes, force est de s'interroger sur le silence complice de la classe politique algérienne, d'une certaine presse locale, des ONG's et autres associations de défenseur des Droits de l'Homme toujours promptes à s'attaquer au Maroc, notamment sur les évènements d'Al Hoceima.
Elles ont tout simplement occulté sciemment le fait que dans cette région marocaine, aucun décès n'a été déploré, contrairement en Kabylie ou Ghardaïa, où les morts se comptent par dizaines et les blessés par centaines et ce, sans parler du peuple Chaoui chez qui toute tentative d'expression est réprimée dans le sang.
En conclusion, en observant ces évènements du 14 juin 2017 en Kabylie, on constate que le pouvoir algérien ne peut en aucun cas se débarrasser des méthodes utilisées lors de la révolte du Front des Forces Socialistes (FSS) en 1963, pendant le printemps berbère en 1980, lors des événements d’octobre 1988 et en 2001, sans compter les autres événements moins marquants.
Entre les évènements de la région du Nord Maroc et ceux de Kabylie et de Ghardia, il ne peut y avoir possible comparaison car dans le premier cas il s'agit de revendications sociales, contrairement aux cas algériens qui sont politiques.