Le Forum Crans-Montana : Dakhla, Perle des vents, à l'honneur
Dakhla, cette ville des provinces sahariennes marocaines, s'apprête à accueiilir avec fierté trois évènements mondiaux majeurs organisés par Forum Crans-Montana courant mars 2015.
Une cité d'environ 100 000 habitants qui est réputée pour être l'une des destinations touristiques les plus prisées au plan national et international.
Cette ville, que de nombreux spécialistes du tourisme comparent à Honolulu, capitale d'Hawaï, est une presqu'île où l'océan Atlantique épouse l'étendue du désert, lui donnant un cachet d'une grande rareté, et est dotée de toutes les infratructures de base : hôtels, hôpital, dispensaires, port, aéroport, gare routière, écoles et lycée, complexes sportif et social, marchés achalandés et pharmacies .
Ce coin de paradis, bâti sur la plus belle baie de la façade Atlantique, est doté de tous les atouts d'une destination de rêve avec ses trois cents jours de soleil par an et des plages de sable blanc à perte de vue, et commence à rivaliser avec les grandes destinations touristiques internationales.
Les touristes peuvent y pratiquer de nombreux sports nautiques, c'est pourquoi elle accueille les windsurfeurs et les kitesurfeurs mais aussi les véliplanchistes et abrite annuellement le Festival International de la Mer.
En cette fin du mois de février 2015, elle abrite la 1ère Edition de la Saharienne, une épreuve sportive réservée uniquement aux femmes de divers horizons, infermières, médecins, ingénieurs, fonctionnaires, avocates, magistrates, policières, cadres commerciaux et financiers, athlètes de renom, enseignantes, étudiantes et autres et venues du monde entier.
La ville possède également un parcours de golf près de la Lagune d'Or qui fait tout le bonheur des mordus de ce sport.
D'ailleurs, la stratégie touristique mise en place par le Royaume du Maroc pour l'horizon 2020 table sur l'arrivée de 114 000 touristes annuellement après le lancement d'une vingtaine de projets et la mise en place de 13 liaisons aériennes hebdomadaires avec les principaux marchés européens émetteurs.
Un fort potentiel touristique qui a conduit les responsables du groupe émirati Al Shafi Investment a conclure un mémorandum d'entente avec le Ministre marocain du Tourisme et le Président du Directoire de la Société Marocaine d'Ingéniérie Touristique pour le développement d'un complexe hôtelier du désert à Dakhla pour un montant d'un milliard de dollars.
Outre cet atout touristique, la ville de Dakhla et sa région n'en manquent pas d'autres.
A commencer par son litttoral poissonneux de plus de 660 kms qui représente les deux tiers de potentiel national de pêche et le vent doux qui caresse nos tignasses.
Ce vent qui se révèle être une source d'énergie renouvelable précieuse.
D'ailleurs, un projet pharaonique pour la réalisation de deux parcs éoliens d'une capacité de 672 MW d'électricité a fait l'objet d'un accord entre l'Etat marocain et l'allemand Altus AG, associé au marocain AM Wind. D'autres projets éoliens sont en cours de finalisation notamment avec le groupe espagnol Gotoga Brokers.
Toujours sur le plan économique, la Ville de Dakhla est dotée de deux zones industrielles qui permettent de drainer des investissements dans l'industrie et l'agro-alimentaire et de lutter contre le chômage en générant plus de 2000 emplois à plein temps et près de 4000 autres saisonniers.
Enfin, Dakhla se verra dotée d'une zone franche d'exportation destinée aux industries agro-alimentaires, aux activités de congélations, de traitement et de transformation des produits de la mer et des produits agricoles et aux activités commerciales qui y sont liées. Elle sera également ouverte aux aux industriels du textile et du cuir ainsi qu'aux industries métallurgiques, mécaniques, électriques, électroniques, plastiques et de l'emballage.
En conclusion, jadis ville de garnison, escale des premiers vols de l'aéropostale avec les Saint Exépéry, Jean Mermoz et Henri Guillaumet et simple halte de pêcheurs, la Ville de Dakhla, Perle des Vents, a pu, grâce à son retour à la Mère Patrie, à la volonté de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et au génie marocain sortir de terre pour devenir une cité radieuse dont l'essor économique et social et les images font blêmir les ennemis du Maroc, notamment ceux de l'Est.
Farid Mnebhi.
Dakhla, cette ville des provinces sahariennes marocaines, s'apprête à accueiilir avec fierté trois évènements mondiaux majeurs organisés par Forum Crans-Montana courant mars 2015.
Une cité d'environ 100 000 habitants qui est réputée pour être l'une des destinations touristiques les plus prisées au plan national et international.
Cette ville, que de nombreux spécialistes du tourisme comparent à Honolulu, capitale d'Hawaï, est une presqu'île où l'océan Atlantique épouse l'étendue du désert, lui donnant un cachet d'une grande rareté, et est dotée de toutes les infratructures de base : hôtels, hôpital, dispensaires, port, aéroport, gare routière, écoles et lycée, complexes sportif et social, marchés achalandés et pharmacies .
Ce coin de paradis, bâti sur la plus belle baie de la façade Atlantique, est doté de tous les atouts d'une destination de rêve avec ses trois cents jours de soleil par an et des plages de sable blanc à perte de vue, et commence à rivaliser avec les grandes destinations touristiques internationales.
Les touristes peuvent y pratiquer de nombreux sports nautiques, c'est pourquoi elle accueille les windsurfeurs et les kitesurfeurs mais aussi les véliplanchistes et abrite annuellement le Festival International de la Mer.
En cette fin du mois de février 2015, elle abrite la 1ère Edition de la Saharienne, une épreuve sportive réservée uniquement aux femmes de divers horizons, infermières, médecins, ingénieurs, fonctionnaires, avocates, magistrates, policières, cadres commerciaux et financiers, athlètes de renom, enseignantes, étudiantes et autres et venues du monde entier.
La ville possède également un parcours de golf près de la Lagune d'Or qui fait tout le bonheur des mordus de ce sport.
D'ailleurs, la stratégie touristique mise en place par le Royaume du Maroc pour l'horizon 2020 table sur l'arrivée de 114 000 touristes annuellement après le lancement d'une vingtaine de projets et la mise en place de 13 liaisons aériennes hebdomadaires avec les principaux marchés européens émetteurs.
Un fort potentiel touristique qui a conduit les responsables du groupe émirati Al Shafi Investment a conclure un mémorandum d'entente avec le Ministre marocain du Tourisme et le Président du Directoire de la Société Marocaine d'Ingéniérie Touristique pour le développement d'un complexe hôtelier du désert à Dakhla pour un montant d'un milliard de dollars.
Outre cet atout touristique, la ville de Dakhla et sa région n'en manquent pas d'autres.
A commencer par son litttoral poissonneux de plus de 660 kms qui représente les deux tiers de potentiel national de pêche et le vent doux qui caresse nos tignasses.
Ce vent qui se révèle être une source d'énergie renouvelable précieuse.
D'ailleurs, un projet pharaonique pour la réalisation de deux parcs éoliens d'une capacité de 672 MW d'électricité a fait l'objet d'un accord entre l'Etat marocain et l'allemand Altus AG, associé au marocain AM Wind. D'autres projets éoliens sont en cours de finalisation notamment avec le groupe espagnol Gotoga Brokers.
Toujours sur le plan économique, la Ville de Dakhla est dotée de deux zones industrielles qui permettent de drainer des investissements dans l'industrie et l'agro-alimentaire et de lutter contre le chômage en générant plus de 2000 emplois à plein temps et près de 4000 autres saisonniers.
Enfin, Dakhla se verra dotée d'une zone franche d'exportation destinée aux industries agro-alimentaires, aux activités de congélations, de traitement et de transformation des produits de la mer et des produits agricoles et aux activités commerciales qui y sont liées. Elle sera également ouverte aux aux industriels du textile et du cuir ainsi qu'aux industries métallurgiques, mécaniques, électriques, électroniques, plastiques et de l'emballage.
En conclusion, jadis ville de garnison, escale des premiers vols de l'aéropostale avec les Saint Exépéry, Jean Mermoz et Henri Guillaumet et simple halte de pêcheurs, la Ville de Dakhla, Perle des Vents, a pu, grâce à son retour à la Mère Patrie, à la volonté de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et au génie marocain sortir de terre pour devenir une cité radieuse dont l'essor économique et social et les images font blêmir les ennemis du Maroc, notamment ceux de l'Est.
Farid Mnebhi.