La France a admis la propriété du contenu de l'avion-cargo qui a été saisi par des autorités militaires à l'Aéroport International d'Amino Kano, samedi dernier. Elle a affirmé que le vol est couvert par une autorisation diplomatique octroyée par le Ministère des Affaires étrangères à Abuja. Elle a noté que l'Antonov 124 est un avion commercial russe forcé d'atterrir à l'aéroport de Kano à cause du flux du trafic aérien à l'aéroport de Ndjamena, le Tchad.
Selon l'Ambassadeur français au Nigeria, Jacques Champagne l'Antonov a dû être réorienté par l'équipage russe vers un aéroport international le plus proche pour se ravitailler en carburant avant de décoller de nouveau pour l'Aéroport de N'Djamena.
L'ambassadeur a nié les informations selon lesquelles l'avion portait des armes et des munitions, mais il reconnaît qu'il transportait deux hélicoptères légers de type Gazelle, des pièces de rechange et des matériels de maintenance appartenant à l'Armée française.
L'ambassadeur a expliqué qu'en raison de la nationalité de l'avion et la nature de la cargaison, les autorités portuaires de Kano, ont décidé de vérifier le plan de vol, l'autorisation et le manifeste de la cargaison avant de le laisser partir.
Selon l'Ambassadeur français au Nigeria, Jacques Champagne l'Antonov a dû être réorienté par l'équipage russe vers un aéroport international le plus proche pour se ravitailler en carburant avant de décoller de nouveau pour l'Aéroport de N'Djamena.
L'ambassadeur a nié les informations selon lesquelles l'avion portait des armes et des munitions, mais il reconnaît qu'il transportait deux hélicoptères légers de type Gazelle, des pièces de rechange et des matériels de maintenance appartenant à l'Armée française.
L'ambassadeur a expliqué qu'en raison de la nationalité de l'avion et la nature de la cargaison, les autorités portuaires de Kano, ont décidé de vérifier le plan de vol, l'autorisation et le manifeste de la cargaison avant de le laisser partir.