Des produits de médecine traditionnelle au Tchad. © DR
Le Tchad commémore ce lundi la 18ème Journée africaine de la médecine traditionnelle sous le thème : "Deux décennies de médecine traditionnelle africaine, 2001-2010 et 2011-2020. Quels progrès dans le pays ?"
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), 80% de la population africaine utilise la médecine traditionnelle pour répondre aux besoins de santé.
Le Tchad considère la médecine traditionnelle comme une stratégie de soin de santé primaire. Plusieurs textes ont été ratifiés ou adoptés en ce sens.
Le directeur général adjoint du ministère de la Santé publique et de la Solidarité nationale, Dr. Mahamat Hamit Ahmat, a lancé dimanche un appel aux tradipraticiens afin de travailler dans les associations en attendant l'adoption des textes régissant la médecine traditionnelle au Tchad.
Selon lui, son département ministériel projette de créer une unité de recherche pour le développement des phytomédicaments (médicaments à base de plante) pour lutter contre la Covid-19.
Les associations de tradipraticiens regroupent à ce jour plus de 15.000 membres.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), 80% de la population africaine utilise la médecine traditionnelle pour répondre aux besoins de santé.
Le Tchad considère la médecine traditionnelle comme une stratégie de soin de santé primaire. Plusieurs textes ont été ratifiés ou adoptés en ce sens.
Le directeur général adjoint du ministère de la Santé publique et de la Solidarité nationale, Dr. Mahamat Hamit Ahmat, a lancé dimanche un appel aux tradipraticiens afin de travailler dans les associations en attendant l'adoption des textes régissant la médecine traditionnelle au Tchad.
Selon lui, son département ministériel projette de créer une unité de recherche pour le développement des phytomédicaments (médicaments à base de plante) pour lutter contre la Covid-19.
Les associations de tradipraticiens regroupent à ce jour plus de 15.000 membres.