Des manifestants palestiniens lancent des pierres aux policiers israéliens à Jerusalem est, le 16 mars 2010. DAN BALILTY/AP/SIPA
Depuis un certains temps, le conflit israélo-palestinien vole en vedette dans l’opinion nationale tchadienne. Aux marchés, dans les restaurants, dans les mousqués, dans les couloirs politiques et diplomatiques, les débats restent le même : le raid aérien de l’Etat hébreu sur la bande de Gaza ne laisse personne indifferent. « si le bombordements des puissants sur les pauvres est consideré comme un acte de légitime défense, à quoi sert l’existence de l’ONU ? A moins que certains peuples sont plus préviligiés que les autres, dans cette machine à roublond, qui est la communauté internationale, dont le rapport de force est la seule finalité », a fustigé un homme politique populaire au sein de l’appareil d’Etat tchadien le 14 juillet dernier à notre collaborateur.
Un diplomate tchadien, en retraite, a laissé entendre dans la matiné de ce mercredi 16 juillet en présence de ses collaborateurs dans une Bibliothèque de la place, où ils tenaient une réunion, que : « Le monde va mal. Ce qu’on croyais être la justice est en réalité l’injustice masquée. Au vue de la communauté internationale, L’Etat Israélien a tout le droit de faire ce qui lui semble bon, surtout quant-il s’agit du conflit qui l’oppose aux palestiniens. C’est vraiment décevant ». Si ce diplomate, a marre de ce conflit qui perdure à jamais, l’opinion publique tchadienne en a fait un débat de tout le temps. Dans un restaurant, dénommé "la volonté", dans le 6ème arrondissement de la capitale, le conflit israélo-palestinien fait l’objet d’une discussion passionnante. Pour certains l’Etat Hébreu exagère en bombordant un peuple sans défense qui ne cherche qu’à se faire justice. Mais pour les autres, ils voient en ce conflit israélo-palestinien, la prophétie, une volonté divine.
Officiellement, les autorités tchadiennes se reservent de tout commentaire. Mais dans les coulisses du Gouvernement, les murmures finissent par éclater et la tension monte entre amis. Etant membre non permanent du conseil de sécurité de l’ONU, le pays entend mettre sa position sur la balance de la communauté solidaire au peuple palestinien. Jusqu’à quand va durer le silence tchadien? « Pas longtemps. La colère interieur finira par avoir raison sur le silence et la position du Tchad éclatera au grand jour. Et beaucoup des pays africains s’en suivront. Et ça fera mal, croyez moi », a prédit un fonctionnaire international en exercice à N’djamena.
Le Tchad va-t-il, une fois de plus, se créer d’ennui sur le plan international ? Et particulièrement dans le conflit israélo-palestinien qui est réputé, la cour des grand, réservé à la diplomatie des cinq puissances de merde ? « Peu probable » a répondu un conseiller du Palais Rose. Pour lui, le Tchad est sorti, diplomatiquement, affaibli des crises centrafricaines et maliennes. Les élections se pointent à l’horizon et l’élite politique à surement d’autres préoccupations internes. S’hasarder dans le conflit israélo-palestinien sera une belle aventure inutile pour l’instant. L’avenir nous dira et bien plus claire.
Un diplomate tchadien, en retraite, a laissé entendre dans la matiné de ce mercredi 16 juillet en présence de ses collaborateurs dans une Bibliothèque de la place, où ils tenaient une réunion, que : « Le monde va mal. Ce qu’on croyais être la justice est en réalité l’injustice masquée. Au vue de la communauté internationale, L’Etat Israélien a tout le droit de faire ce qui lui semble bon, surtout quant-il s’agit du conflit qui l’oppose aux palestiniens. C’est vraiment décevant ». Si ce diplomate, a marre de ce conflit qui perdure à jamais, l’opinion publique tchadienne en a fait un débat de tout le temps. Dans un restaurant, dénommé "la volonté", dans le 6ème arrondissement de la capitale, le conflit israélo-palestinien fait l’objet d’une discussion passionnante. Pour certains l’Etat Hébreu exagère en bombordant un peuple sans défense qui ne cherche qu’à se faire justice. Mais pour les autres, ils voient en ce conflit israélo-palestinien, la prophétie, une volonté divine.
Officiellement, les autorités tchadiennes se reservent de tout commentaire. Mais dans les coulisses du Gouvernement, les murmures finissent par éclater et la tension monte entre amis. Etant membre non permanent du conseil de sécurité de l’ONU, le pays entend mettre sa position sur la balance de la communauté solidaire au peuple palestinien. Jusqu’à quand va durer le silence tchadien? « Pas longtemps. La colère interieur finira par avoir raison sur le silence et la position du Tchad éclatera au grand jour. Et beaucoup des pays africains s’en suivront. Et ça fera mal, croyez moi », a prédit un fonctionnaire international en exercice à N’djamena.
Le Tchad va-t-il, une fois de plus, se créer d’ennui sur le plan international ? Et particulièrement dans le conflit israélo-palestinien qui est réputé, la cour des grand, réservé à la diplomatie des cinq puissances de merde ? « Peu probable » a répondu un conseiller du Palais Rose. Pour lui, le Tchad est sorti, diplomatiquement, affaibli des crises centrafricaines et maliennes. Les élections se pointent à l’horizon et l’élite politique à surement d’autres préoccupations internes. S’hasarder dans le conflit israélo-palestinien sera une belle aventure inutile pour l’instant. L’avenir nous dira et bien plus claire.