Voici ses explications :
"Mardi 18 juin 2019, il était 18 h 24 min, je me suis arrêté au 48, boulevard Gouvion St-Cyr pour serrer des mains parce que j’avais remarqué deux compatriotes rentrés dernièrement de la Mecque. Au point d’arrivée, au moment où je saluais ces compatriotes, surgit l’aide de camp de Déby, le nommé Khoudar Mahamat Acyl, nain de plusieurs années comme cadet. Cet individu, garde-corps invalide d’un président de la République, beau-frère de celui-ci parce qu’il est le frère de son épouse, bombardé général de corps d’armée à un âge juvénile, s’y jette en invective. De l’agression verbale, il y alla à l’agression physique sans y parvenir – quand on veut toucher une personne, il faut le faire à deux, face à face, pas devant du monde pour vous séparer – soit, ce jour j’étais doublement convaincu que malgré l’exil, la dictature étend ses tentacules à vouloir faire taire les voix discordances.
Il a fallu beaucoup de réflexion afin de publier cet article et rétablir la vérité, car je ne voulais pas faire de la publicité pour un attribut morganatique, celui qui vit et qui se hisse à un rang grâce aux jupons des sœurs. Si mes compatriotes n’avaient pas évoqué cette affaire sur Facebook, je n’allais pas la publier. Mais tout le monde voulait ma version, et humblement je vous la donne.
Chose étonnante. À 30 min d’intervalle de l’incident, deux voix m’appellent de N’Djamena (TCHAD) pour me dire cela “ On a appris que l’aide de camp du président a tapé le directeur de Tchadanthropus “. J’ai automatiquement compris que c’est de la publicité calculée pour se faire des points auprès du gendre, une démarche illicite propre aux lâches pour y arriver. Le Tchad fonctionne ainsi depuis des lorettes. Rien d’étonnant. Donc il faut chercher à agresser ma modeste personne pour glaner des points… Fifre.
L’agression sur ma personne est clairement préméditée. Elle est une suite logique au même moment où plusieurs opposants sont arrêtés, et que moi-même est le porte-parole d’un mouvement connu et su, et qui intervient dans les médias.
Cet individu n’a rien inventé à la barbouzerie. Ceux qui le poussent aux œuvres n’ont pas besoin de se recroqueviller sur des satrapes. Notre voix est celle-là, audible, et elle ne déviera pas d’un iota. Celui qui veut nous attaquer qu’il le fasse sans se cacher derrière d’autres personnes pour y faire la mêlée. Ce n’est pas ces méthodes qui nous empêcheront de dire toute l’injustice au Tchad. Ça sera fait sans prise de gant.
En France, la liberté d’expression est un droit. La vérité doit être dite tant que l’injustice est grandissante. Si nous sommes condamnés par la dictature c’est parce qu’il y a objet de dénonce et racket sur le peuple tchadien. Nous sommes haïs parce que nous disons le contraire de l’injustice. Tout autre escamotage et montage résulte des mensonges connus à travers cet individu, qui même au Tchad, dans le cœur du pouvoir, ment comme il respire, comme il transpire, soit pour arnaquer des citoyens, des cadres de l’état ou encore des commerçants, pour en tirer profit par rapport à son hypothétique rang de têtard. Beaucoup en ont payé le prix des mensonges suivant des fiches envoyées à Déby par le même individu. Menteur un jour – menteur pour toujours.
Tout opposant, ou avis contraire doit être vigilant et alerte, car les mêmes méthodes de sbires pourront surgir sur ceux qui sont en exil contre la dictature.
Pour nous, la conclusion est faite. Cet individu a été envoyé, recommandé, et instruit pour atteindre, mais Dieu merci il n’y ait pas parvenu.
Tchadanthropus-tribune sera et restera la voix du peuple, de ceux qui sont opprimés, et notre ligne éditoriale ne déviera pas des principes de démocratie et de combat en dénonçant toutes les injustices.
Il n’y aura plus jamais deux sans trois précise l’anecdote. On sera jugé sur les faits.
Voilà comment, et pourquoi je suis victime d’une agression mûrement orchestrée.
Je remercie les milliers de compatriotes inquiets, qui à la lecture des postes Facebook des compatriotes, ont tenté de me joindre pour s’enquérir de mon état. Je remercie les camarades de lutte qui se sont mobilisés en riposte sur leurs canaux d’information et ceux qui envoient des messages à longueur de journée. Je m’excuse auprès de ceux en qui je n’ai pu revenir. Tout passe dans cette basse vie, il n’y aura à la fin que les chapiteaux de l’histoire pour les narrer… À vous tous merci", dixit ASSILECK HALATA Mahamat.
"Mardi 18 juin 2019, il était 18 h 24 min, je me suis arrêté au 48, boulevard Gouvion St-Cyr pour serrer des mains parce que j’avais remarqué deux compatriotes rentrés dernièrement de la Mecque. Au point d’arrivée, au moment où je saluais ces compatriotes, surgit l’aide de camp de Déby, le nommé Khoudar Mahamat Acyl, nain de plusieurs années comme cadet. Cet individu, garde-corps invalide d’un président de la République, beau-frère de celui-ci parce qu’il est le frère de son épouse, bombardé général de corps d’armée à un âge juvénile, s’y jette en invective. De l’agression verbale, il y alla à l’agression physique sans y parvenir – quand on veut toucher une personne, il faut le faire à deux, face à face, pas devant du monde pour vous séparer – soit, ce jour j’étais doublement convaincu que malgré l’exil, la dictature étend ses tentacules à vouloir faire taire les voix discordances.
Il a fallu beaucoup de réflexion afin de publier cet article et rétablir la vérité, car je ne voulais pas faire de la publicité pour un attribut morganatique, celui qui vit et qui se hisse à un rang grâce aux jupons des sœurs. Si mes compatriotes n’avaient pas évoqué cette affaire sur Facebook, je n’allais pas la publier. Mais tout le monde voulait ma version, et humblement je vous la donne.
Chose étonnante. À 30 min d’intervalle de l’incident, deux voix m’appellent de N’Djamena (TCHAD) pour me dire cela “ On a appris que l’aide de camp du président a tapé le directeur de Tchadanthropus “. J’ai automatiquement compris que c’est de la publicité calculée pour se faire des points auprès du gendre, une démarche illicite propre aux lâches pour y arriver. Le Tchad fonctionne ainsi depuis des lorettes. Rien d’étonnant. Donc il faut chercher à agresser ma modeste personne pour glaner des points… Fifre.
L’agression sur ma personne est clairement préméditée. Elle est une suite logique au même moment où plusieurs opposants sont arrêtés, et que moi-même est le porte-parole d’un mouvement connu et su, et qui intervient dans les médias.
Cet individu n’a rien inventé à la barbouzerie. Ceux qui le poussent aux œuvres n’ont pas besoin de se recroqueviller sur des satrapes. Notre voix est celle-là, audible, et elle ne déviera pas d’un iota. Celui qui veut nous attaquer qu’il le fasse sans se cacher derrière d’autres personnes pour y faire la mêlée. Ce n’est pas ces méthodes qui nous empêcheront de dire toute l’injustice au Tchad. Ça sera fait sans prise de gant.
En France, la liberté d’expression est un droit. La vérité doit être dite tant que l’injustice est grandissante. Si nous sommes condamnés par la dictature c’est parce qu’il y a objet de dénonce et racket sur le peuple tchadien. Nous sommes haïs parce que nous disons le contraire de l’injustice. Tout autre escamotage et montage résulte des mensonges connus à travers cet individu, qui même au Tchad, dans le cœur du pouvoir, ment comme il respire, comme il transpire, soit pour arnaquer des citoyens, des cadres de l’état ou encore des commerçants, pour en tirer profit par rapport à son hypothétique rang de têtard. Beaucoup en ont payé le prix des mensonges suivant des fiches envoyées à Déby par le même individu. Menteur un jour – menteur pour toujours.
Tout opposant, ou avis contraire doit être vigilant et alerte, car les mêmes méthodes de sbires pourront surgir sur ceux qui sont en exil contre la dictature.
Pour nous, la conclusion est faite. Cet individu a été envoyé, recommandé, et instruit pour atteindre, mais Dieu merci il n’y ait pas parvenu.
Tchadanthropus-tribune sera et restera la voix du peuple, de ceux qui sont opprimés, et notre ligne éditoriale ne déviera pas des principes de démocratie et de combat en dénonçant toutes les injustices.
Il n’y aura plus jamais deux sans trois précise l’anecdote. On sera jugé sur les faits.
Voilà comment, et pourquoi je suis victime d’une agression mûrement orchestrée.
Je remercie les milliers de compatriotes inquiets, qui à la lecture des postes Facebook des compatriotes, ont tenté de me joindre pour s’enquérir de mon état. Je remercie les camarades de lutte qui se sont mobilisés en riposte sur leurs canaux d’information et ceux qui envoient des messages à longueur de journée. Je m’excuse auprès de ceux en qui je n’ai pu revenir. Tout passe dans cette basse vie, il n’y aura à la fin que les chapiteaux de l’histoire pour les narrer… À vous tous merci", dixit ASSILECK HALATA Mahamat.