Dans un communiqué publié le 11 avril dernier, la Maison de la Presse a appelé l'ensemble des médias maliens à ne pas se soumettre aux injonctions de la HAC. Elle appelle ainsi les journalistes et les professionnels des médias à rester debout, unis et mobilisés pour défendre le droit du citoyen à l'information.
Cette prise de position courageuse s'inscrit dans un contexte où la liberté d'expression est constamment menacée au Mali. La décision de suspendre les activités politiques sur les médias est perçue comme une mesure censurant l'accès des citoyens à une information libre et transparente.
Dans cet élan contestataire, Reporters Sans Frontières (RSF) a également dénoncé cette décision autoritaire. RSF souligne que cette interdiction faite aux médias maliens de couvrir les partis politiques et les activités politiques des associations vient s'ajouter aux nombreuses actions entreprises pour museler l'information dans le pays.
Sous la coordination de Reporters sans frontières (RSF), près d’une trentaine d’organisations de défense des droits humains et de médias ont adressé une lettre ouverte aux autorités du Mali et du Burkina Faso, ainsi qu’aux organisations régionales et internationales. Ils demandent la fin des atteintes à la liberté de la presse dans ces pays. Cette initiative de solidarité rappelle l’importance capitale du respect et de la promotion de la liberté de la presse au Mali et au Burkina Faso. Alors que le monde célèbre la journée de la liberté de la presse, les autorités de ces deux pays doivent pleinement en mesurer le sens et prendre immédiatement les décisions nécessaires pour que tout journaliste puisse exercer librement sans risques de représailles.
La liste des signataires comprend des médias locaux tels que Joliba Tv News au Mali et Lefaso.net au Burkina Faso, des organisations de défense de la liberté de la presse et des droits des journalistes, ainsi que des médias internationaux. Malheureusement, le Mali et le Burkina Faso ont récemment reculé dans le Classement mondial de la liberté de la presse, publié en mai 2023. Ils occupent désormais respectivement la 113e et la 58e place sur 180 pays.
Cette prise de position courageuse s'inscrit dans un contexte où la liberté d'expression est constamment menacée au Mali. La décision de suspendre les activités politiques sur les médias est perçue comme une mesure censurant l'accès des citoyens à une information libre et transparente.
Dans cet élan contestataire, Reporters Sans Frontières (RSF) a également dénoncé cette décision autoritaire. RSF souligne que cette interdiction faite aux médias maliens de couvrir les partis politiques et les activités politiques des associations vient s'ajouter aux nombreuses actions entreprises pour museler l'information dans le pays.
Sous la coordination de Reporters sans frontières (RSF), près d’une trentaine d’organisations de défense des droits humains et de médias ont adressé une lettre ouverte aux autorités du Mali et du Burkina Faso, ainsi qu’aux organisations régionales et internationales. Ils demandent la fin des atteintes à la liberté de la presse dans ces pays. Cette initiative de solidarité rappelle l’importance capitale du respect et de la promotion de la liberté de la presse au Mali et au Burkina Faso. Alors que le monde célèbre la journée de la liberté de la presse, les autorités de ces deux pays doivent pleinement en mesurer le sens et prendre immédiatement les décisions nécessaires pour que tout journaliste puisse exercer librement sans risques de représailles.
La liste des signataires comprend des médias locaux tels que Joliba Tv News au Mali et Lefaso.net au Burkina Faso, des organisations de défense de la liberté de la presse et des droits des journalistes, ainsi que des médias internationaux. Malheureusement, le Mali et le Burkina Faso ont récemment reculé dans le Classement mondial de la liberté de la presse, publié en mai 2023. Ils occupent désormais respectivement la 113e et la 58e place sur 180 pays.