Madame le président, comment entendez-vous vous déployer à l’occasion de la 40ème édition de la Journée Mondiale du Consommateur ?
Le Conseil National de la Consommation (CONACO), comme lors des précédentes éditions, va dérouler un certain nombre d’activités. Il va également assurer la supervision des activités organisées par des associations. Ce sont des activités à caractère sportif, des activités d’explication du thème de la journée : « Transition juste vers un mode de vie durable », des descentes dans les entreprises. Il s’agit des activités de sensibilisation des populations dans les grands marchés.
Pour ce qui concerne le Conseil, trois types d’activités seront mis en place. La première consiste à la supervision des activités menées par les associations, la deuxième activité porte sur deux séminaires de renforcement des capacités des associations de défense des droits et intérêts des consommateurs sur la thématique de la 40ème édition. Enfin, il y aura aussi des descentes auprès de certaines entreprises privées.
Comment expliquez-vous votre implication, s’agissant des volets santé et protection de l’environnement ?
Nous avons cette année une thématique très englobante, où nous retrouvons tous les secteurs concernés par la protection des consommateurs. Notamment les secteurs de l’agro-industrie, de la santé, le secteur de l’environnement sur lesquels nous relevons un certain nombre de dénonciations par les consommateurs.
Nous voulons veiller que les entreprises qui investissent actuellement procèdent à un renouvellement de leurs outils technologiques, ou acquièrent de nouvelles technologies moins consommatrices de matières premières et qui préservent mieux l’environnement. Et nous voulons également emmener les associations de défense des droits des consommateurs à jouer pleinement leur rôle en matière de développement durable.
Quelle est l’importance de la visite annoncée dans les entreprises ?
L’importance, c’est sûrement une sensibilisation de ces entreprises pour l’acquisition de meilleures pratiques environnementales, c’est-à-dire des pratiques qui vont dans le sens de la préservation de l’écologie naturelle. Il ne faut pas détruire par des eaux polluantes déversées dans la nature, ni par de nouvelles pratiques environnementales, et par une pression atmosphérique qui a un impact néfaste sur la santé humaine, et même sur l’environnement.
Face à certains faits vécus sur le marché, que conseilleriez-vous aux consommateurs ?
Il est question d’une transition. Le consommateur aussi doit être sensibilisé car, si l’exploitation des ressources et la pollution continuent d’être ce qu’elles sont à présent, il se pourrait que les générations futures ne soient pas à l’abri d’un certain nombre de désagréments. Il faut donc sensibiliser les populations, leur montrer le bien-fondé à garder son écosystème dans une certaine propreté.
Il faut les sensibiliser à préserver ce que nous pouvons considérer aujourd’hui comme des acquis des générations antérieures. Il n’est pas question pour elles de détruire cet environnement, sinon qu’allons-nous léguer aux générations futures ? Nous avons donc intérêt à avoir des modes de vie et des modes de consommation qui préservent notre environnement.
Le Conseil National de la Consommation (CONACO), comme lors des précédentes éditions, va dérouler un certain nombre d’activités. Il va également assurer la supervision des activités organisées par des associations. Ce sont des activités à caractère sportif, des activités d’explication du thème de la journée : « Transition juste vers un mode de vie durable », des descentes dans les entreprises. Il s’agit des activités de sensibilisation des populations dans les grands marchés.
Pour ce qui concerne le Conseil, trois types d’activités seront mis en place. La première consiste à la supervision des activités menées par les associations, la deuxième activité porte sur deux séminaires de renforcement des capacités des associations de défense des droits et intérêts des consommateurs sur la thématique de la 40ème édition. Enfin, il y aura aussi des descentes auprès de certaines entreprises privées.
Comment expliquez-vous votre implication, s’agissant des volets santé et protection de l’environnement ?
Nous avons cette année une thématique très englobante, où nous retrouvons tous les secteurs concernés par la protection des consommateurs. Notamment les secteurs de l’agro-industrie, de la santé, le secteur de l’environnement sur lesquels nous relevons un certain nombre de dénonciations par les consommateurs.
Nous voulons veiller que les entreprises qui investissent actuellement procèdent à un renouvellement de leurs outils technologiques, ou acquièrent de nouvelles technologies moins consommatrices de matières premières et qui préservent mieux l’environnement. Et nous voulons également emmener les associations de défense des droits des consommateurs à jouer pleinement leur rôle en matière de développement durable.
Quelle est l’importance de la visite annoncée dans les entreprises ?
L’importance, c’est sûrement une sensibilisation de ces entreprises pour l’acquisition de meilleures pratiques environnementales, c’est-à-dire des pratiques qui vont dans le sens de la préservation de l’écologie naturelle. Il ne faut pas détruire par des eaux polluantes déversées dans la nature, ni par de nouvelles pratiques environnementales, et par une pression atmosphérique qui a un impact néfaste sur la santé humaine, et même sur l’environnement.
Face à certains faits vécus sur le marché, que conseilleriez-vous aux consommateurs ?
Il est question d’une transition. Le consommateur aussi doit être sensibilisé car, si l’exploitation des ressources et la pollution continuent d’être ce qu’elles sont à présent, il se pourrait que les générations futures ne soient pas à l’abri d’un certain nombre de désagréments. Il faut donc sensibiliser les populations, leur montrer le bien-fondé à garder son écosystème dans une certaine propreté.
Il faut les sensibiliser à préserver ce que nous pouvons considérer aujourd’hui comme des acquis des générations antérieures. Il n’est pas question pour elles de détruire cet environnement, sinon qu’allons-nous léguer aux générations futures ? Nous avons donc intérêt à avoir des modes de vie et des modes de consommation qui préservent notre environnement.