L’ancien président du Niger, Mahamadou Issoufou (2011-2021), est une fois de plus sorti de son silence dans les réseaux sociaux, près de deux mois après le coup d’État du 26 juillet qui a renversé son successeur Bazoum.
« Toujours préoccupé par la grave crise que connaît mon pays, le Niger, je réaffirme que seule une solution négociée ouvrira la voie au retour rapide à un ordre démocratique stable », a-t-il souligné ce samedi 23 septembre 2023 sur son compte officiel Twitter.
« Une intervention militaire extérieure, dont les conséquences humaines et matérielles sont incalculables, y sera une source d'instabilité durable. Du reste, une telle intervention n'a, nulle part, jamais été facteur de progrès pour aucun peuple », a souligné l’ancien Président du Niger.
« Plus qu'une erreur, y recourir serait une faute. Je suis sûr que les chefs d'Etat de la Cédéao puiseront dans leur immense sagesse pour ne pas commettre une telle faute », a-t-il estimé.
Dans un entretien avec le magazine Jeune Afrique en aout dernier, il avait expliqué « très mal » réagir aux accusations selon lesquelles il aurait joué un rôle dans ce putsch. Et il affirme : « Mon exigence n’a jamais varié. Je demande la libération du président Mohamed Bazoum et sa restauration dans ses fonctions. »
« Je garde l'espoir d'une sortie de crise pacifique et négociée », avait dit Mahamadou Issoufou dans son entretien accordé à Jeune Afrique.
« Toujours préoccupé par la grave crise que connaît mon pays, le Niger, je réaffirme que seule une solution négociée ouvrira la voie au retour rapide à un ordre démocratique stable », a-t-il souligné ce samedi 23 septembre 2023 sur son compte officiel Twitter.
« Une intervention militaire extérieure, dont les conséquences humaines et matérielles sont incalculables, y sera une source d'instabilité durable. Du reste, une telle intervention n'a, nulle part, jamais été facteur de progrès pour aucun peuple », a souligné l’ancien Président du Niger.
« Plus qu'une erreur, y recourir serait une faute. Je suis sûr que les chefs d'Etat de la Cédéao puiseront dans leur immense sagesse pour ne pas commettre une telle faute », a-t-il estimé.
Dans un entretien avec le magazine Jeune Afrique en aout dernier, il avait expliqué « très mal » réagir aux accusations selon lesquelles il aurait joué un rôle dans ce putsch. Et il affirme : « Mon exigence n’a jamais varié. Je demande la libération du président Mohamed Bazoum et sa restauration dans ses fonctions. »
« Je garde l'espoir d'une sortie de crise pacifique et négociée », avait dit Mahamadou Issoufou dans son entretien accordé à Jeune Afrique.