Comparé à la même période de l’année précédente, où 1 389 cas avaient été enregistrés avec 72 décès (létalité : 5,2 %), cette augmentation est jugée « inquiétante » par l’OMS. Actuellement, le taux de létalité est de 6,1 %1. La région de Niamey est l’épicentre de l’épidémie, avec un taux d’attaque cumulé de 52 cas pour 100 000 habitants. D’autres régions touchées incluent Agadez, Zinder et Dosso.
Face à cette situation critique, l’OMS et d’autres partenaires travaillent activement à la riposte contre l’épidémie. Des interventions sont en cours, notamment la prise en charge des cas et la mobilisation de ressources pour l’organisation d’une campagne de vaccination. Un nouveau vaccin, protégeant contre cinq souches (A, C, W, X et Y), est administré à Niamey. Contrairement aux précédents vaccins, celui-ci est à dose unique. L’OMS fournit également des médicaments et des intrants pour la prise en charge des cas et soutient les coûts opérationnels grâce à une requête soumise au groupe international de coordination pour la vaccination (ICG).
Face à cette situation critique, l’OMS et d’autres partenaires travaillent activement à la riposte contre l’épidémie. Des interventions sont en cours, notamment la prise en charge des cas et la mobilisation de ressources pour l’organisation d’une campagne de vaccination. Un nouveau vaccin, protégeant contre cinq souches (A, C, W, X et Y), est administré à Niamey. Contrairement aux précédents vaccins, celui-ci est à dose unique. L’OMS fournit également des médicaments et des intrants pour la prise en charge des cas et soutient les coûts opérationnels grâce à une requête soumise au groupe international de coordination pour la vaccination (ICG).