« La situation de ma famille est très difficile actuellement », a relevé Zazia Bazoum ajoutant « la nourriture qu'ils ont dans le réfrigérateur, ils ne peuvent plus l'utiliser. Ils n'ont pas de viande ou de légumes frais ».
« C'est donc dangereux pour leur santé. Ils n'ont même pas d'eau potable à boire, et le gaz pour cuisiner va bientôt manquer. Qu'est-ce qu'ils mangeront ensuite, parce qu'ils (les putschistes, Ndlr) ne veulent laisser personne venir les voir ? », s’interroge Zazia, 34 ans.
Selon la jeune femme, ses parents auraient perdu 5 kilos chacun tandis que son frère de 22 ans, Salem, en aurait perdu 10. « C'est très dangereux, [les putschistes] font cela pour faire pression sur eux, mais ce n'est pas juste de les voir dans cette situation », souligne-t-elle.
« Tout cela contre eux, les coupures d'électricité et toute cette pression psychologique, parce qu'ils veulent voir mon père signer une lettre de démission », relève-t-elle concluant que « la situation est mauvaise » pour sa famille à Niamey.
« C'est donc dangereux pour leur santé. Ils n'ont même pas d'eau potable à boire, et le gaz pour cuisiner va bientôt manquer. Qu'est-ce qu'ils mangeront ensuite, parce qu'ils (les putschistes, Ndlr) ne veulent laisser personne venir les voir ? », s’interroge Zazia, 34 ans.
Selon la jeune femme, ses parents auraient perdu 5 kilos chacun tandis que son frère de 22 ans, Salem, en aurait perdu 10. « C'est très dangereux, [les putschistes] font cela pour faire pression sur eux, mais ce n'est pas juste de les voir dans cette situation », souligne-t-elle.
« Tout cela contre eux, les coupures d'électricité et toute cette pression psychologique, parce qu'ils veulent voir mon père signer une lettre de démission », relève-t-elle concluant que « la situation est mauvaise » pour sa famille à Niamey.