Dans un discours d’ouverture de cette session, le chef de l’État a souligné que la justice est l’une des institutions sur lesquelles repose la démocratie ainsi que l’état de droit, affirmant que « rendre la justice est une fonction essentielle dans un état de droit. »
Les affectations des magistrats doivent se faire « sur la base de critères objectifs » et « nous devons pour cela avoir pour objectif principal de faciliter le bon fonctionnement de l’institution judiciaire », a dit le président Mohamed Bazoum.
« Les critiques à l’endroit de la justice qui nous parviennent font état de sa lenteur et de son mauvais fonctionnement. Ces critiques incessantes de nos concitoyens, qu’elles soient fondées ou non, nous obligent, nous autres responsables, réunis en cette instance, à trouver des solutions, et c’est ce que nous allons nous efforcer de rechercher à travers les affectations auxquelles nous allons procéder », a-t-il indiqué.
« J’engage et exhorte les magistrats qui seront nommés et tous les autres à toujours plus de sens de responsabilité, de conscience professionnelle, de professionnalisme et de respect de l’honneur et de la dignité de la profession », a ajouté le président de la République.
« Mon vœu le plus cher pour nos concitoyens conformément au programme sur la base duquel j’ai été élu », a rappelé Mohamed Bazoum, « est l’instauration de la bonne gouvernance en milieu judiciaire, c’est à dire, une justice de qualité, une justice juste, équitable et impartiale, respectueuse des droits et libertés de chaque citoyen, bref, une justice qui rassure les citoyens honnêtes en même temps qu’elle traque les délinquants, grands ou petits, riches ou pauvres ».
Les affectations des magistrats doivent se faire « sur la base de critères objectifs » et « nous devons pour cela avoir pour objectif principal de faciliter le bon fonctionnement de l’institution judiciaire », a dit le président Mohamed Bazoum.
« Les critiques à l’endroit de la justice qui nous parviennent font état de sa lenteur et de son mauvais fonctionnement. Ces critiques incessantes de nos concitoyens, qu’elles soient fondées ou non, nous obligent, nous autres responsables, réunis en cette instance, à trouver des solutions, et c’est ce que nous allons nous efforcer de rechercher à travers les affectations auxquelles nous allons procéder », a-t-il indiqué.
« J’engage et exhorte les magistrats qui seront nommés et tous les autres à toujours plus de sens de responsabilité, de conscience professionnelle, de professionnalisme et de respect de l’honneur et de la dignité de la profession », a ajouté le président de la République.
« Mon vœu le plus cher pour nos concitoyens conformément au programme sur la base duquel j’ai été élu », a rappelé Mohamed Bazoum, « est l’instauration de la bonne gouvernance en milieu judiciaire, c’est à dire, une justice de qualité, une justice juste, équitable et impartiale, respectueuse des droits et libertés de chaque citoyen, bref, une justice qui rassure les citoyens honnêtes en même temps qu’elle traque les délinquants, grands ou petits, riches ou pauvres ».