Veiller à l’application des textes relatifs à la protection des femmes et enfants au Tchad, à l’impunité des auteurs des VBG, créer des structures d’accueil dans chaque arrondissement, faire le suivi dans le 10 arrondissements des travaux des acteurs, réprimer sévèrement les auteurs, la gratuité de certificat médical pour les cas sociaux, et mettre à la disposition des acteurs des ressources nécessaires pour contrer les VBC.
Telles sont les recommandations issues de l’atelier de formation tenu du 26 au 28 septembre dernier au centre Almouna. Au cours de cette formation, les participants ont fait le plaidoyer auprès des autorités administratives, religieuses et traditionnelles. L’objectif est d’assurer une prise en charge globale et adéquate des victimes VBG dans la ville de Ndjamena et sensibiliser les populations sur les conséquences néfastes de V.B.G
Le représentant de L’UNFPA Monsieur Mamadou Dicko a indiqué qu’en effet, « la violence faite aux femmes est directement liée aux inégalités entre les sexes. La lutte exige que les vois des femmes soient entendues. Il est temps de créer un monde ou les garçons et filles puissent avoir des responsabilités et des chances égales. C'est-à-dire reconnaitre l’égalité entre les deux sexes ». Pour lui, il faut s’assurer que tous doivent répondre à la violence faite aux femmes et le système judiciaire doit être sensibilisé. M. Diko souligne que selon la banque mondiale, le viol et la violence domestique représentent un risque plus grand pour une femme âgée de 15 à 44ans que le cancer, les accidents de la route, la guerre et le paludisme réunis. Le maire de Ndjamena a pour sa part souligné que des mécanismes nationaux ont été mis en place pour contrecarrer cette violence. Raison pour laquelle la formation de renforcement de capacité doit se poursuivre. Cette formation selon lui, est un pas de plus dans le combat que mène le pays pour mettre fin à ces pratiques qui touchent à l’intégrité morale, physique et psychologique des femmes et filles.
Par Mawa Wa Bangoul.
Telles sont les recommandations issues de l’atelier de formation tenu du 26 au 28 septembre dernier au centre Almouna. Au cours de cette formation, les participants ont fait le plaidoyer auprès des autorités administratives, religieuses et traditionnelles. L’objectif est d’assurer une prise en charge globale et adéquate des victimes VBG dans la ville de Ndjamena et sensibiliser les populations sur les conséquences néfastes de V.B.G
Le représentant de L’UNFPA Monsieur Mamadou Dicko a indiqué qu’en effet, « la violence faite aux femmes est directement liée aux inégalités entre les sexes. La lutte exige que les vois des femmes soient entendues. Il est temps de créer un monde ou les garçons et filles puissent avoir des responsabilités et des chances égales. C'est-à-dire reconnaitre l’égalité entre les deux sexes ». Pour lui, il faut s’assurer que tous doivent répondre à la violence faite aux femmes et le système judiciaire doit être sensibilisé. M. Diko souligne que selon la banque mondiale, le viol et la violence domestique représentent un risque plus grand pour une femme âgée de 15 à 44ans que le cancer, les accidents de la route, la guerre et le paludisme réunis. Le maire de Ndjamena a pour sa part souligné que des mécanismes nationaux ont été mis en place pour contrecarrer cette violence. Raison pour laquelle la formation de renforcement de capacité doit se poursuivre. Cette formation selon lui, est un pas de plus dans le combat que mène le pays pour mettre fin à ces pratiques qui touchent à l’intégrité morale, physique et psychologique des femmes et filles.
Par Mawa Wa Bangoul.