Au cours de cette table ronde qui portait sur les partenariats pour une croissance verte, le président congolais a formulé le vœu de voir le sommet de Paris aboutir à des décisions concrètes.
Pour lui, des annonces sont faites, chaque fois sans une réelle volonté de poser les actions salutaires en faveur de la survie de la planète. « J’espère qu’il sera effectivement le sommet de la rupture, pourquoi pas un sommet historique. » Les changements climatiques continuent d’avoir des effets dévastateurs sur les économies et les populations des pays en développement, particulièrement en Afrique, a renchéri Denis Sassou-N’Guesso.
Le sommet de la rupture
Le sommet pour un nouveau pacte financier mondial n’est pas le premier du genre qui traite de la lutte contre le changement climatique. Le Président congolais a fait la relation avec les sommets antérieurs sur le climat et au cours desquels des engagements ont été pris par la communauté internationale.
Pour lui, il est temps de traduire en acte la décision prise à Copenhague, en 2009, de mobiliser chaque année 100 milliards de dollars comme soutien aux pays en développement et pauvres pour les efforts d’adaptation et l’atténuation aux changements climatiques.
Denis Sassou-N’Guesso a espéré que ce sommet débouche sur des décisions concrètes. « Il serait dommage que ce sommet mondial ressemble à nouveau à tous les autres sommets que personnellement que j’ai vus, depuis Copenhague jusqu’à aujourd’hui », a déclaré le chef de l’Etat congolais.
Pour Denis Sassou-N’Guesso, l’humanité est arrivée à un moment historique. « Je pense que ce sommet est celui de la rupture, a ajouté Denis Sassou-N’Guesso, qui a souhaité que des soutiens se mobilisent pour compenser les efforts consentis par les pays pauvres pour préserver durablement la planète.
Les efforts consentis par les pays pauvres
En dépit du fait que les pays pollueurs ne respectent pas leurs engagements, les pays pauvres ont multiplié des initiatives concourant à la lutte contre les changements climatiques.
A la tribune de cette table ronde de Paris, Denis Sassou-N’Guesso a présenté l’importance de préserver le Bassin du Congo qui, a-t-il déclaré, représente « 220 millions d’hectares de forêts protégées et il représente aussi 10% de la biodiversité mondiale protégée ». « Le Bassin du Congo pourrait devenir le dernier grand puits de carbone tropical, … si on y ajoute les tourbières et les mangroves », a poursuivi le chef de l’Etat congolais.
Pour lui, des annonces sont faites, chaque fois sans une réelle volonté de poser les actions salutaires en faveur de la survie de la planète. « J’espère qu’il sera effectivement le sommet de la rupture, pourquoi pas un sommet historique. » Les changements climatiques continuent d’avoir des effets dévastateurs sur les économies et les populations des pays en développement, particulièrement en Afrique, a renchéri Denis Sassou-N’Guesso.
Le sommet de la rupture
Le sommet pour un nouveau pacte financier mondial n’est pas le premier du genre qui traite de la lutte contre le changement climatique. Le Président congolais a fait la relation avec les sommets antérieurs sur le climat et au cours desquels des engagements ont été pris par la communauté internationale.
Pour lui, il est temps de traduire en acte la décision prise à Copenhague, en 2009, de mobiliser chaque année 100 milliards de dollars comme soutien aux pays en développement et pauvres pour les efforts d’adaptation et l’atténuation aux changements climatiques.
Denis Sassou-N’Guesso a espéré que ce sommet débouche sur des décisions concrètes. « Il serait dommage que ce sommet mondial ressemble à nouveau à tous les autres sommets que personnellement que j’ai vus, depuis Copenhague jusqu’à aujourd’hui », a déclaré le chef de l’Etat congolais.
Pour Denis Sassou-N’Guesso, l’humanité est arrivée à un moment historique. « Je pense que ce sommet est celui de la rupture, a ajouté Denis Sassou-N’Guesso, qui a souhaité que des soutiens se mobilisent pour compenser les efforts consentis par les pays pauvres pour préserver durablement la planète.
Les efforts consentis par les pays pauvres
En dépit du fait que les pays pollueurs ne respectent pas leurs engagements, les pays pauvres ont multiplié des initiatives concourant à la lutte contre les changements climatiques.
A la tribune de cette table ronde de Paris, Denis Sassou-N’Guesso a présenté l’importance de préserver le Bassin du Congo qui, a-t-il déclaré, représente « 220 millions d’hectares de forêts protégées et il représente aussi 10% de la biodiversité mondiale protégée ». « Le Bassin du Congo pourrait devenir le dernier grand puits de carbone tropical, … si on y ajoute les tourbières et les mangroves », a poursuivi le chef de l’Etat congolais.