Dans certaines de nos communautés, beaucoup des pratiques qui se perpétuent de générations qu’à nos jours, ont de conséquences considérables sur la santé infantile, exposant ces enfants à des risques pathologiques.
Scarification abdominale
Il est observé qu’en cas de ballonnement, ou de tuméfaction, la méthode de scarification se donne comme une solution sanitaire chez l’enfant. L’on s’imagine l’existence d’un quelconque mauvais sang qui serait la cause de ce ballonnement ou tuméfaction, et qu’il faille extraire, en scarifiant le ventre, le front ou le bras de ce dernier, pour éliminer le sang de malheur, qui serait à l’origine de ses souffrances.
Le ballonnement abdominal ou les tuméfactions ne sont autre que les signes d’une malnutrition ou d’une pathologie qu’il faut les prendre en charge dans une structure de santé.
Choisir de les traiter par la scarification, c’est choisir d’exposer son enfant au risque des maladies transmissibles et autres infections opportunistes. Il n’existe pas de sang de malheur.
Ceci est une initiative de MAGIS en collaboration avec le centre universitaire le bon Samaritain, le Complexe Hospitalo-Universitaire le Bon Samaritain et l’Hôpital Notre Dame des Apôtres et financée par l’Agence Italienne pour la Coopération au Développement.
Scarification abdominale
Il est observé qu’en cas de ballonnement, ou de tuméfaction, la méthode de scarification se donne comme une solution sanitaire chez l’enfant. L’on s’imagine l’existence d’un quelconque mauvais sang qui serait la cause de ce ballonnement ou tuméfaction, et qu’il faille extraire, en scarifiant le ventre, le front ou le bras de ce dernier, pour éliminer le sang de malheur, qui serait à l’origine de ses souffrances.
Le ballonnement abdominal ou les tuméfactions ne sont autre que les signes d’une malnutrition ou d’une pathologie qu’il faut les prendre en charge dans une structure de santé.
Choisir de les traiter par la scarification, c’est choisir d’exposer son enfant au risque des maladies transmissibles et autres infections opportunistes. Il n’existe pas de sang de malheur.
Ceci est une initiative de MAGIS en collaboration avec le centre universitaire le bon Samaritain, le Complexe Hospitalo-Universitaire le Bon Samaritain et l’Hôpital Notre Dame des Apôtres et financée par l’Agence Italienne pour la Coopération au Développement.