Le jeune Exauce est parmi les grands bénéficiaire du programme de santé communautaire à Mouyondzi avec à la clé une intervention chirurgicale sur sa jambe malade. En effet, ce jeune congolais a bénéficié gratuitement d’un traitement optimal, qui a nécessité un travail d’équipe intensif entre médecin, technicien en orthopédie et cordonnier. Le contrôle fait actuellement sur ce pied, hier, presque valide fait sourire le patient, ainsi que son père biologique et son oncle. Ils se souviennent du passé récent alors que Exauce n'avait aucun espoir de revoir sa jambe fonctionner.
La fin du calvaire
Le jeune Exaucé a souffert de cette infirmité, appelé pied bot ou une malformation invalidante, à cause d’une indélicatesse du corps médical d’un cabinet médical de la contrée de Madingou. C’est en 2004 qu’Exaucé est victime de cet handicap. Alors qu’il souffrait d’un paludisme, ce dernier a été conduit dans ce cabinet médical et s’est fait injecter du quinimax. Cela avait touché un de ses nerfs, avec pour conséquence directe la déformation du pied droit. Les établissements sanitaires consultés évaluaient le cout du traitement à 2 millions de Francs CFA, une autre clinique de la ville océane l’a chiffré à 3 millions de francs CFA.
La famille dépourvue des moyens financiers n’implorait que la providence pour sauver cet adolescent, en qui le père biologique plaçait tous ses espoirs, parce que brillant à l’école. « Avec les moyens qui étaient les nôtres on ne pouvait pas faire face à arriver à l’handicap de notre fils et neveu. Il n’était pas évident de penser à une guérison. » a indiqué Pierre Dombo, son père biologique et l’oncle de Exaucé n’a pu contenir son émotion : « le manque d’argent faisait naitre, tous les jours, le désespoir dans la famille. » « Hier quand je voyais Exaucé, cela créait l’angoisse. », Confiait-il par la suite.
Pour sa part Exaucé a précisé qu’il lui était difficile de pratiquer le sport et de faire les épreuves d’éducation physiques et sportives à l’école. Lui qui rêvait briller de mille feux au football. « Mon vœu le plus ardent était d’être une grande star du football », déclarait-il à la presse.
La fin du calvaire
Le jeune Exaucé a souffert de cette infirmité, appelé pied bot ou une malformation invalidante, à cause d’une indélicatesse du corps médical d’un cabinet médical de la contrée de Madingou. C’est en 2004 qu’Exaucé est victime de cet handicap. Alors qu’il souffrait d’un paludisme, ce dernier a été conduit dans ce cabinet médical et s’est fait injecter du quinimax. Cela avait touché un de ses nerfs, avec pour conséquence directe la déformation du pied droit. Les établissements sanitaires consultés évaluaient le cout du traitement à 2 millions de Francs CFA, une autre clinique de la ville océane l’a chiffré à 3 millions de francs CFA.
La famille dépourvue des moyens financiers n’implorait que la providence pour sauver cet adolescent, en qui le père biologique plaçait tous ses espoirs, parce que brillant à l’école. « Avec les moyens qui étaient les nôtres on ne pouvait pas faire face à arriver à l’handicap de notre fils et neveu. Il n’était pas évident de penser à une guérison. » a indiqué Pierre Dombo, son père biologique et l’oncle de Exaucé n’a pu contenir son émotion : « le manque d’argent faisait naitre, tous les jours, le désespoir dans la famille. » « Hier quand je voyais Exaucé, cela créait l’angoisse. », Confiait-il par la suite.
Pour sa part Exaucé a précisé qu’il lui était difficile de pratiquer le sport et de faire les épreuves d’éducation physiques et sportives à l’école. Lui qui rêvait briller de mille feux au football. « Mon vœu le plus ardent était d’être une grande star du football », déclarait-il à la presse.