Avant le dépouillement des dossiers de soumission à ces appels d’offres internationaux, la coordination nationale du projet CAB-Congo a organisé, avec les soumissionnaires cette réunion préparatoire prélude à une visite de terrain. Cette étape du processus du choix de l’adjudicataire sera l’occasion pour chaque soumissionnaire de mesurer l’ampleur des travaux à exécuter sur les deux axes.
L’occasion était indiquée pour le projet CAB d’informer ses partenaires sur le bien-fondé de cette visite de terrain qui avait pour objectif de fixer les idées de tout un chacun avant toute décision sur les attentes du gouvernement congolais sur ses appels d’offres.
Au cours de cette réunion certaines conditions à remplir par l’adjudicataire ont été rappelées. « En règle générale, quand on lance un appel d’offre ; s’il s’agit des travaux, il y a l’expérience des sociétés en matière des travaux, dans le cas présent de la capacité de déploiement des réseaux en fibre optique, la capacité financière est indispensable ; parce qu’il faut qu’on s’assure que la société a les moyens financiers pour exécuter les travaux » a indiqué Bernadin Omfoura cadre au projet CAB-Congo.
Les soumissionnaires, pour leur part, ont pu apprécier l’importance de cette démarche du projet CAB et comprendre le contenu du travail et de la fibre optique. Un des soumissionnaires, Giscard Bouantsétsé, a soutenu qu’ « Aujourd’hui quand on parle de fibre optique, les gens ne font qu’allusion à l’internet. Or, il y a autre chose derrière, telle que la transmission des données… »
Pour le ministre Léon Juste Ibombo « on est en train de construire les infrastructures, pour matérialiser l’ambition du chef de l’Etat, qu’est l’arrimage du Congo au développement de l’économie numérique » et de poursuivre « L’économie numérique, qui devient, à l’évidence, l’un des piliers de diversification de l’économie congolaise, rend de plus en plus le Congo attractif. »
Au sujet financement des travaux de mise en œuvre des infrastructures à fibre optique d’interconnexions avec le Cameroun et la Centrafrique, le Congo a reçu un financement de la Banque Africaine de Développement (BAD). Au total 17 sociétés ont soumissionné pour la construction des réseaux à fibre optique terrestre et sous fluvial Congo-Cameroun-RCA, tandis que 7 sociétés, pour les équipements desdits réseaux.
L’occasion était indiquée pour le projet CAB d’informer ses partenaires sur le bien-fondé de cette visite de terrain qui avait pour objectif de fixer les idées de tout un chacun avant toute décision sur les attentes du gouvernement congolais sur ses appels d’offres.
Au cours de cette réunion certaines conditions à remplir par l’adjudicataire ont été rappelées. « En règle générale, quand on lance un appel d’offre ; s’il s’agit des travaux, il y a l’expérience des sociétés en matière des travaux, dans le cas présent de la capacité de déploiement des réseaux en fibre optique, la capacité financière est indispensable ; parce qu’il faut qu’on s’assure que la société a les moyens financiers pour exécuter les travaux » a indiqué Bernadin Omfoura cadre au projet CAB-Congo.
Les soumissionnaires, pour leur part, ont pu apprécier l’importance de cette démarche du projet CAB et comprendre le contenu du travail et de la fibre optique. Un des soumissionnaires, Giscard Bouantsétsé, a soutenu qu’ « Aujourd’hui quand on parle de fibre optique, les gens ne font qu’allusion à l’internet. Or, il y a autre chose derrière, telle que la transmission des données… »
Pour le ministre Léon Juste Ibombo « on est en train de construire les infrastructures, pour matérialiser l’ambition du chef de l’Etat, qu’est l’arrimage du Congo au développement de l’économie numérique » et de poursuivre « L’économie numérique, qui devient, à l’évidence, l’un des piliers de diversification de l’économie congolaise, rend de plus en plus le Congo attractif. »
Au sujet financement des travaux de mise en œuvre des infrastructures à fibre optique d’interconnexions avec le Cameroun et la Centrafrique, le Congo a reçu un financement de la Banque Africaine de Développement (BAD). Au total 17 sociétés ont soumissionné pour la construction des réseaux à fibre optique terrestre et sous fluvial Congo-Cameroun-RCA, tandis que 7 sociétés, pour les équipements desdits réseaux.