crise centrafricaine
CENTRAFRIQUE : Hollande et LeDrian mettent en jeu la corruption pour préparer le génocide et boycotter les accords de NDJAMENA.
Les épisodes que la France joue sur la Centrafrique continuent avec ses manœuvres dolosives. Au départ, Hollande a utilisé les rapports des organisations humanitaires pour déclarer que la Centrafrique est au bord du génocide. Il a convoqué les responsables de celles-ci pour justifier sa préparation de génocidaire.
Par la suite, l’Elysée a donné main forte à François BOZIZE pour renverser le régime de Michel DJOTODIA qui n’a pas voulu donner le Pétrole centrafricain à la France. Pour Hollande lors de sa descente précipitée à Bangui en décembre 2013, il était question de lui faire signer un accord pour la non-exploitation du pétrole et d’autres ressources minières pour une période d’au moins trente (30) ans. Ce projet a échoué et pour cela, Jean Yves LEDRIAN a équipé les antibalaka (armes FAMAZ et machettes…) pour concrétiser le génocide annoncé. Cela n’a pas suffit, il a utilisé les religieux pour faire des faux témoignages et des plaidoyers mensongers sur la crise centrafricaine. François Hollande et Jean Yves LEDRIAN ont corrompu ses religieux qui sont devenus impopulaires. D’ailleurs, l’Imam Moussa KOBINE LAYAMA où sa mosquée fait partie des premiers lieux de culte à être détruite n’a pas l’aval de la communauté musulmane centrafricaine dans cette mission de réconciliation et de paix. Son mandat est terminé depuis deux ans et qu’il refuse d’organiser les élections, donc il est illégitime qu’un tel responsable fasse des déclarations au nom d’une communauté.
Aujourd’hui, le monde donne raison car le message de ses religieux n’a pas atteint les cibles, ils sont devenus plus politiques et s’investissent pour leurs propres intérêts que de ressortir le vrai problème sur le terrain.
Aussi, certains conseillers nationaux de transition ont été corrompus pour ne pas appliquer les accords de NDJAMENA en janvier 2014. Les accords et la parole donnée des parlementaires de transition sont restés dans les tiroirs. Les faits sont là, les vrais acteurs et les génocidaires sont là et les violences a atteint son paroxysme : cannibalisme…
Cette stratégie n’a pas marché pour la France ; elle appelle et continue d’appeler les autres pays européens pour un soutien massif afin d’avoir une couverture internationale dans ce génocide. Elle est cette fois-ci prudente pour éviter les erreurs du RWANDA il y’a vingt ans. Les socialistes ont dans leur sang et le livre d’or le virus du génocide. Le peuple français commence à sanctionner cette politique. Les résultats des élections municipales sont les prémices. L’échec de Hollande et son équipe est patent. Si les autorités françaises mettent la pression pour traquer BOZIZE et complices, c’est par pure dissimulation car ce dernier était en terre française et reçu par ses autorités avant de faire les déclarations d’appel à la haine.
Le déploiement des forces françaises de SANGARIS dans l’Est de la Centrafrique (Bambari, Bria…) a pour objectif réellement de créer les conflits et la déstabilisation de la région afin de justifier leur progression dans le Nord-est là où il y’a le pétrole. Les peuples de cette région nous le savons jusque là vivent en harmonie, nous prenons à témoin la communauté internationale si la crise perpétrée par la France à Bangui et à l’ouest et au sud de la Centrafrique se propage dans cette zone paisible.
Quant aux déclarations de Jean Yves LE DRIAN sur son opposition à la partition de Centrafrique. Nous savons maintenant qu’il est centrafricain pour faire la réconciliation avec son bâton magique. Le déficit d’information ou semblant de protéger les intérêts de la France, il sera devant les faits. Tous les jours à Bangui, les personnes et personnalités (Edouard NGAÏSSONA, Serge BOKASSA…) font des déclarations pour ne plus entendre le mot « ALLAHOU AKBAR » dans la zone contrôlée par les Antibalaka, où monsieur LEDRIAN va mettre les musulmans qui ont tout perdu ?
La partition est de fait, il n’y aura pas de guerre avec les armes comme pense LEDRIAN pour aller quémander l’argent en Europe. Peut-être que les militaires français vont se battre avec les civils sur leur propre terre. Les populations du nord-est ne vont pas céder à la corruption de Hollande. Nous savons que la France veut exterminer cette frange de la population car elle continue de la traiter comme étant des terroristes. C’est la France qui veut amener ALQUAÏDA au nord-est de la Centrafrique, nous sommes appeler à être vigilant. Nous n’allons pas utiliser la guérilla, seule la communauté internationale va donner son point de vue sur la partition et les bavures des éléments français de l’opération SANGARIS.
Pour le parti politique FRONT DU PEUPLE LIBRE (FPL)
Dr. HAMAT MAL-MAL Essène
malmalesseine@yahoo.fr
Les épisodes que la France joue sur la Centrafrique continuent avec ses manœuvres dolosives. Au départ, Hollande a utilisé les rapports des organisations humanitaires pour déclarer que la Centrafrique est au bord du génocide. Il a convoqué les responsables de celles-ci pour justifier sa préparation de génocidaire.
Par la suite, l’Elysée a donné main forte à François BOZIZE pour renverser le régime de Michel DJOTODIA qui n’a pas voulu donner le Pétrole centrafricain à la France. Pour Hollande lors de sa descente précipitée à Bangui en décembre 2013, il était question de lui faire signer un accord pour la non-exploitation du pétrole et d’autres ressources minières pour une période d’au moins trente (30) ans. Ce projet a échoué et pour cela, Jean Yves LEDRIAN a équipé les antibalaka (armes FAMAZ et machettes…) pour concrétiser le génocide annoncé. Cela n’a pas suffit, il a utilisé les religieux pour faire des faux témoignages et des plaidoyers mensongers sur la crise centrafricaine. François Hollande et Jean Yves LEDRIAN ont corrompu ses religieux qui sont devenus impopulaires. D’ailleurs, l’Imam Moussa KOBINE LAYAMA où sa mosquée fait partie des premiers lieux de culte à être détruite n’a pas l’aval de la communauté musulmane centrafricaine dans cette mission de réconciliation et de paix. Son mandat est terminé depuis deux ans et qu’il refuse d’organiser les élections, donc il est illégitime qu’un tel responsable fasse des déclarations au nom d’une communauté.
Aujourd’hui, le monde donne raison car le message de ses religieux n’a pas atteint les cibles, ils sont devenus plus politiques et s’investissent pour leurs propres intérêts que de ressortir le vrai problème sur le terrain.
Aussi, certains conseillers nationaux de transition ont été corrompus pour ne pas appliquer les accords de NDJAMENA en janvier 2014. Les accords et la parole donnée des parlementaires de transition sont restés dans les tiroirs. Les faits sont là, les vrais acteurs et les génocidaires sont là et les violences a atteint son paroxysme : cannibalisme…
Cette stratégie n’a pas marché pour la France ; elle appelle et continue d’appeler les autres pays européens pour un soutien massif afin d’avoir une couverture internationale dans ce génocide. Elle est cette fois-ci prudente pour éviter les erreurs du RWANDA il y’a vingt ans. Les socialistes ont dans leur sang et le livre d’or le virus du génocide. Le peuple français commence à sanctionner cette politique. Les résultats des élections municipales sont les prémices. L’échec de Hollande et son équipe est patent. Si les autorités françaises mettent la pression pour traquer BOZIZE et complices, c’est par pure dissimulation car ce dernier était en terre française et reçu par ses autorités avant de faire les déclarations d’appel à la haine.
Le déploiement des forces françaises de SANGARIS dans l’Est de la Centrafrique (Bambari, Bria…) a pour objectif réellement de créer les conflits et la déstabilisation de la région afin de justifier leur progression dans le Nord-est là où il y’a le pétrole. Les peuples de cette région nous le savons jusque là vivent en harmonie, nous prenons à témoin la communauté internationale si la crise perpétrée par la France à Bangui et à l’ouest et au sud de la Centrafrique se propage dans cette zone paisible.
Quant aux déclarations de Jean Yves LE DRIAN sur son opposition à la partition de Centrafrique. Nous savons maintenant qu’il est centrafricain pour faire la réconciliation avec son bâton magique. Le déficit d’information ou semblant de protéger les intérêts de la France, il sera devant les faits. Tous les jours à Bangui, les personnes et personnalités (Edouard NGAÏSSONA, Serge BOKASSA…) font des déclarations pour ne plus entendre le mot « ALLAHOU AKBAR » dans la zone contrôlée par les Antibalaka, où monsieur LEDRIAN va mettre les musulmans qui ont tout perdu ?
La partition est de fait, il n’y aura pas de guerre avec les armes comme pense LEDRIAN pour aller quémander l’argent en Europe. Peut-être que les militaires français vont se battre avec les civils sur leur propre terre. Les populations du nord-est ne vont pas céder à la corruption de Hollande. Nous savons que la France veut exterminer cette frange de la population car elle continue de la traiter comme étant des terroristes. C’est la France qui veut amener ALQUAÏDA au nord-est de la Centrafrique, nous sommes appeler à être vigilant. Nous n’allons pas utiliser la guérilla, seule la communauté internationale va donner son point de vue sur la partition et les bavures des éléments français de l’opération SANGARIS.
Pour le parti politique FRONT DU PEUPLE LIBRE (FPL)
Dr. HAMAT MAL-MAL Essène
malmalesseine@yahoo.fr