Rapport de premier semestre 2014 présenté par le réseaux des ADH du Tchad
Des arrestations de musulmans à Bangui par la force Sangaris. Crédit photo : http://defense.blogs.lavoixdunord.fr
Violations des droits de l'homme en RCA
Le premier semestre de l'année 2014 a commencé par des graves violations des droits de l'homme sur les tchadiens résidant en RCA ainsi que des centrafricains et bien d'autre africains de confession musulmane. La République du Tchad et la République Centrafricaine sont liées par l'histoire et la géographie. Elles partagent plusieurs centaines de kilomètres de frontière et ont tout au long de leur frontière des populations à cheval entre les deux pays à savoir : ROUNGA, DAGAL, KIBOT, KABA, LES BAY, LES BOUM, LES LAKA, LES N'GAMA, etc. Ce qui fait que cette population est à moitié Tchadienne et à moitié Centrafricaine. Cette cohabitation dure depuis des siècles et elles vivent en harmonie la plus totale.
La crise centrafricaine qui fait que la communauté tchadienne subisse et endure les conséquences a commencé avec le départ de François Bozizé. Ce dernier, se sentant menacé par la rébellion de la Séléka en raison de sa mauvaise gouvernance, a mis des gros moyens pour armer son clan LES BAYA et autres proches et organiser le massacre des Tchadiens ainsi que tous ceux qui sont de religion musulmane qu'il accuse d'être de mèche avec les rebelles.
Le Tchad n'a jamais manqué à son devoir de soutenir la RCA pour que la paix et la stabilité la RCA pour que la paix et la stabilité soit une réalité dans ce pays voisin. Malheureusement certains centrafricains instrumentalisés par Bozizé n'ont pas tenu compte de cette réalité historique et ont accepté de faire le jeu en massacrant plusieurs centaines de femmes, des vieillards, des enfants et des hommes valides. Ce massacre organisé, dirigé, et ordonné par François Bozizé est bien préparé et orienté contre la population Tchadienne. François Bozizé a commandé de l'Afrique du sud deux contenaire de coupe-coupe pour les distribuer à la population civile chrétienne en les instruisant de massacrer tous les tchadiens vivants en RCA en particulier et les musulmans en général. Plusieurs centaines de ressortissants tchadiens ont été tués, grillés et mangés par les Anti-balaka. Le gouvernement de la République du Tchad a pris des dispositions pour évacuer ses ressortissants. Cela a permis d'éviter des massacres et même le génocide. Nous félicitions le gouvernement pour sa prompte réaction qui a permis à plus de cent milles tchadiens à regagner le Tchad.
Le Réseau des ADH condamne une fois de plus ces crimes contre l'humanité organisé par François Bozizé. Avec la Coalition des ADH pour les victimes de la RCA, nous avons transmis une communication à Madame le Procureure de la Cour Pénale Internationale qui a considéré notre démarche recevable. Nous nous réjouissons d'avance de l'ouverture de l'enquête préliminaire sur ces crimes abominables perpétrés en RCA;
Le RADHT regrette le soutien criminel des Sangaristes apporté aux Antibalaka ayant permis à ces derniers de continuer à commettre leur forfait avec la complicité de la France. les forces françaises ont désarmé les musulmans et les ont mis à la disposition des Antibalaka pour les massacrer. Les armes qui ont été récupérées chez les SELEKA par l'armée française et enregistrées se sont retrouvées chez les Antibalaka. Les officiers de la Sangaris ont remis des quantités importantes de munitions au vu et su de tout le monde aux Antibalaka. Donc la France a été complice sur les massacres des centaines des musulmans en République centrafricaine. C'est pourquoi nous demandons à la CPI de situer la responsabilité des officiers français dans ces crimes car ils ont participé avec les Antibalaka pour entailler les musulmans de la RCA. Donc ils sont aussi responsables du crime contre l'humanité tout comme les Antibalaka.
Le premier semestre de l'année 2014 a commencé par des graves violations des droits de l'homme sur les tchadiens résidant en RCA ainsi que des centrafricains et bien d'autre africains de confession musulmane. La République du Tchad et la République Centrafricaine sont liées par l'histoire et la géographie. Elles partagent plusieurs centaines de kilomètres de frontière et ont tout au long de leur frontière des populations à cheval entre les deux pays à savoir : ROUNGA, DAGAL, KIBOT, KABA, LES BAY, LES BOUM, LES LAKA, LES N'GAMA, etc. Ce qui fait que cette population est à moitié Tchadienne et à moitié Centrafricaine. Cette cohabitation dure depuis des siècles et elles vivent en harmonie la plus totale.
La crise centrafricaine qui fait que la communauté tchadienne subisse et endure les conséquences a commencé avec le départ de François Bozizé. Ce dernier, se sentant menacé par la rébellion de la Séléka en raison de sa mauvaise gouvernance, a mis des gros moyens pour armer son clan LES BAYA et autres proches et organiser le massacre des Tchadiens ainsi que tous ceux qui sont de religion musulmane qu'il accuse d'être de mèche avec les rebelles.
Le Tchad n'a jamais manqué à son devoir de soutenir la RCA pour que la paix et la stabilité la RCA pour que la paix et la stabilité soit une réalité dans ce pays voisin. Malheureusement certains centrafricains instrumentalisés par Bozizé n'ont pas tenu compte de cette réalité historique et ont accepté de faire le jeu en massacrant plusieurs centaines de femmes, des vieillards, des enfants et des hommes valides. Ce massacre organisé, dirigé, et ordonné par François Bozizé est bien préparé et orienté contre la population Tchadienne. François Bozizé a commandé de l'Afrique du sud deux contenaire de coupe-coupe pour les distribuer à la population civile chrétienne en les instruisant de massacrer tous les tchadiens vivants en RCA en particulier et les musulmans en général. Plusieurs centaines de ressortissants tchadiens ont été tués, grillés et mangés par les Anti-balaka. Le gouvernement de la République du Tchad a pris des dispositions pour évacuer ses ressortissants. Cela a permis d'éviter des massacres et même le génocide. Nous félicitions le gouvernement pour sa prompte réaction qui a permis à plus de cent milles tchadiens à regagner le Tchad.
Le Réseau des ADH condamne une fois de plus ces crimes contre l'humanité organisé par François Bozizé. Avec la Coalition des ADH pour les victimes de la RCA, nous avons transmis une communication à Madame le Procureure de la Cour Pénale Internationale qui a considéré notre démarche recevable. Nous nous réjouissons d'avance de l'ouverture de l'enquête préliminaire sur ces crimes abominables perpétrés en RCA;
Le RADHT regrette le soutien criminel des Sangaristes apporté aux Antibalaka ayant permis à ces derniers de continuer à commettre leur forfait avec la complicité de la France. les forces françaises ont désarmé les musulmans et les ont mis à la disposition des Antibalaka pour les massacrer. Les armes qui ont été récupérées chez les SELEKA par l'armée française et enregistrées se sont retrouvées chez les Antibalaka. Les officiers de la Sangaris ont remis des quantités importantes de munitions au vu et su de tout le monde aux Antibalaka. Donc la France a été complice sur les massacres des centaines des musulmans en République centrafricaine. C'est pourquoi nous demandons à la CPI de situer la responsabilité des officiers français dans ces crimes car ils ont participé avec les Antibalaka pour entailler les musulmans de la RCA. Donc ils sont aussi responsables du crime contre l'humanité tout comme les Antibalaka.