« La formation paramilitaire des étudiants résistants se poursuit sans relâche et avec détermination », a rapporté ce 18 novembre 2023, le confrère congolais Justin Kabumba.
« Plus de 700 étudiants volontaires y sont internés. Ils sont venus de diverses institutions d’enseignement supérieur et universitaire de Kisangani et du Nord-Kivu », a-t-il ajouté.
L’est de la République démocratique du Congo (RDC) est ravagé par trois décennies de guerres incessantes, ayant fait des millions de victimes civiles et militaires.
Fin 2021, le Mouvement du 23 mars (M23) réapparaît : c’est la reprise des combats avec les Forces armées de la RDC (FARDC). Ce n’est pas le seul groupe armé à l’est : il y en aurait plus d’une centaine. Face à cette situation explosive, l’armée congolaise est renforcée par celles d’États voisins, plusieurs initiatives de paix et médiation, lancées. Mais ces réponses militaires et politiques sont inefficaces jusqu’ici.
La région est le théâtre de la formation, dissolution et réapparition de groupes armés depuis plus de 30 ans, sans qu’aucune opération militaire n’ait réussi à apaiser la situation. La population, victime de cette tragédie, aspire profondément à la paix, alors que des élections se profilent pour la fin de l’année.
« Plus de 700 étudiants volontaires y sont internés. Ils sont venus de diverses institutions d’enseignement supérieur et universitaire de Kisangani et du Nord-Kivu », a-t-il ajouté.
L’est de la République démocratique du Congo (RDC) est ravagé par trois décennies de guerres incessantes, ayant fait des millions de victimes civiles et militaires.
Fin 2021, le Mouvement du 23 mars (M23) réapparaît : c’est la reprise des combats avec les Forces armées de la RDC (FARDC). Ce n’est pas le seul groupe armé à l’est : il y en aurait plus d’une centaine. Face à cette situation explosive, l’armée congolaise est renforcée par celles d’États voisins, plusieurs initiatives de paix et médiation, lancées. Mais ces réponses militaires et politiques sont inefficaces jusqu’ici.
La région est le théâtre de la formation, dissolution et réapparition de groupes armés depuis plus de 30 ans, sans qu’aucune opération militaire n’ait réussi à apaiser la situation. La population, victime de cette tragédie, aspire profondément à la paix, alors que des élections se profilent pour la fin de l’année.