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Le procureur a affirmé sans détour que le député a été abattu par une balle provenant de l'arme retrouvée à côté de son corps dans sa jeep abandonnée sur l'avenue Poids Lourds.
Au cours de l'enquête qui a rapidement suivi ce meurtre, impliquant un grand nombre de suspects potentiels, Firmin Mvonde Mambu, procureur général près la Cour de cassation, a révélé que "la balle qui a été tirée sur la victime est bel et bien partie de l'arme trouvée à côté du corps, une arme appartenant au suspect. Cependant, les déclarations du garde du corps de la victime, principal suspect, ne sont pas constantes, ce qui rend l'affaire plus complexe."
Actuellement, deux proches de Chérubin Okende sont en détention et sont interrogés par les autorités, il s'agit de son garde du corps et de son chauffeur. Le garde du corps est considéré comme étant la dernière personne à avoir été avec la victime. Cette affaire a semé un climat de terreur dans la capitale et certaines villes du pays, à moins de six mois des élections.
Des experts venant de différents pays du monde sont arrivés à Kinshasa pour participer aux enquêtes et élucider ce meurtre, dans l'espoir de ramener le calme dans le pays. Les déclarations du cardinal Fridolin Ambongo, archevêque métropolitain de Kinshasa, ont également alimenté les débats, soutenant qu'il s'agit d'un acte prémédité.
Le corps ensanglanté de l'ancien ministre des Transports avait été découvert dans sa voiture par la police scientifique et l'armée avant d'être transféré à la morgue.
Au cours de l'enquête qui a rapidement suivi ce meurtre, impliquant un grand nombre de suspects potentiels, Firmin Mvonde Mambu, procureur général près la Cour de cassation, a révélé que "la balle qui a été tirée sur la victime est bel et bien partie de l'arme trouvée à côté du corps, une arme appartenant au suspect. Cependant, les déclarations du garde du corps de la victime, principal suspect, ne sont pas constantes, ce qui rend l'affaire plus complexe."
Actuellement, deux proches de Chérubin Okende sont en détention et sont interrogés par les autorités, il s'agit de son garde du corps et de son chauffeur. Le garde du corps est considéré comme étant la dernière personne à avoir été avec la victime. Cette affaire a semé un climat de terreur dans la capitale et certaines villes du pays, à moins de six mois des élections.
Des experts venant de différents pays du monde sont arrivés à Kinshasa pour participer aux enquêtes et élucider ce meurtre, dans l'espoir de ramener le calme dans le pays. Les déclarations du cardinal Fridolin Ambongo, archevêque métropolitain de Kinshasa, ont également alimenté les débats, soutenant qu'il s'agit d'un acte prémédité.
Le corps ensanglanté de l'ancien ministre des Transports avait été découvert dans sa voiture par la police scientifique et l'armée avant d'être transféré à la morgue.