Contribuer à la réinsertion sociale des mineurs issus des Centres d’observation, par le sport et la formation professionnelle. Telle est la vision de l’Ong La Balle aux prisonniers (LaBAP), qui a initié le projet : Sport aux centres d’observation des mineurs d’Abidjan et de Bouaké au service de la réinsertion (Score).
Ce projet qui se déroule sur 18 mois (1er août 2019 – 31 janvier 2021) et financé par l’ambassade de France à Abidjan bénéficie du soutien du Secrétariat d’Etat aux droits de l’homme, puis de la Direction de la protection judicaire de l’enfance et de la jeunesse (Dpjej).
Durant deux jours d’atelier, du 3 au 4 octobre à Abidjan-Cocody, où le coup d’envoi de ce projet a été donné, les participants ont eu à élaborer les outils nécessaires dans l’observation, le suivi et l’évaluation des mineurs, pour améliorer leur prise en charge et travailler à leur réinsertion.
Au terme desdits travaux, le coordonnateur national de LaBAP, Olympe Konan, ainsi que la présidente, Patricia Myriam, appuyé par Nicolas Huet, membre du comité exécutif ont co-animé une conférence de presse pour insister sur le fait LaBAP place la pratique sportive au centre de son action. Mieux, ils ont relevé qu’au sein de la prison, le sport présente de nouveaux horions et est un vecteur de changement social au service du développement. Les conférenciers ont signifié que le volet des formations professionnelles concerne la cuniculture, la pisciculture et la pâtisserie.
Le tableau des activités dudit projet se présente comme suit : 201 mineurs, dont 20 filles bénéficieront d’une prise en charge, 80 mineurs, dont 20 filles, pour la formation professionnelle. De plus, il y aura 216 entrainements et 12 matches, avec des équipes extérieures. Et enfin, 3 journées seront dédiées aux droits de l’homme et des infrastructures sportives et éducatives connaîtront des rénovations.
Ce projet qui se déroule sur 18 mois (1er août 2019 – 31 janvier 2021) et financé par l’ambassade de France à Abidjan bénéficie du soutien du Secrétariat d’Etat aux droits de l’homme, puis de la Direction de la protection judicaire de l’enfance et de la jeunesse (Dpjej).
Durant deux jours d’atelier, du 3 au 4 octobre à Abidjan-Cocody, où le coup d’envoi de ce projet a été donné, les participants ont eu à élaborer les outils nécessaires dans l’observation, le suivi et l’évaluation des mineurs, pour améliorer leur prise en charge et travailler à leur réinsertion.
Au terme desdits travaux, le coordonnateur national de LaBAP, Olympe Konan, ainsi que la présidente, Patricia Myriam, appuyé par Nicolas Huet, membre du comité exécutif ont co-animé une conférence de presse pour insister sur le fait LaBAP place la pratique sportive au centre de son action. Mieux, ils ont relevé qu’au sein de la prison, le sport présente de nouveaux horions et est un vecteur de changement social au service du développement. Les conférenciers ont signifié que le volet des formations professionnelles concerne la cuniculture, la pisciculture et la pâtisserie.
Le tableau des activités dudit projet se présente comme suit : 201 mineurs, dont 20 filles bénéficieront d’une prise en charge, 80 mineurs, dont 20 filles, pour la formation professionnelle. De plus, il y aura 216 entrainements et 12 matches, avec des équipes extérieures. Et enfin, 3 journées seront dédiées aux droits de l’homme et des infrastructures sportives et éducatives connaîtront des rénovations.