L’acte posé par les 155 Nations qui ont voté en faveur de la résolution sur le boisement et le reboisement est hommage rendu au chef de l’Etat congolais. Dominique Obambi pense que « L’humanité a reconnu bien que Denis Sassou-N’Guesso est visionnaire et incarne le leadership de la gestion durable des forêts. » En ce sens, soutient-il que « Depuis 1984, en instituant la journée nationale de l’arbre en République du Congo, le président Denis Sassou-N’Guesso mesurait déjà les effets dévastateurs des changements climatiques. »
Dans plusieurs tribunes, tant dans son pays qu’ailleurs, le président Denis Sassou-N’Guesso n’a cessé de faire valoir son attachement à l’écologie et à la préservation de la planète. « En novembre 2022, en Egypte à la tribune de la COP27, quand il propose à l’humanité la décennie de l’afforestation et du reboisement, le président Denis Sassou-N’Guesso, en réalité, réitérait son engagement inébranlable en faveur de la protection de l’environnement. » Pouvait marteler Dominique Obambi, avant d’ajouter « Nous, autres contemporains, devrions se joindre à lui, c’est-à-dire au président Denis Sassou-N’Guesso pour le plus grand succès de cet engagement, qui vend cher le Congo ; une grande diplomatie verte incarnée par Denis Sassou-N’Guesso. »
La résolution onusienne nécessite l’implication de tout le monde
De la proclamation de la journée nationale de l’arbre en 1984 à sa sortie médiatique en novembre 2022, lors de la COP27, à Charm el-Cheikh en Égypte, sans oublier l’organisation au Congo, du 3ème sommet des trois Bassins forestiers tropicaux du Monde, en octobre 2023, de la 1ère conférence internationale sur l’afforestation, en juillet 2024 Denis Sassou-N’Guesso na fait que réconforté sa position de pionnier de la préservation et la gestion durable des écosystèmes forestiers.
De ce fait et en se référant à la résolution onusienne Dominique Obambi souligne l’obligation non seulement de saluer la volonté et la vision de Denis Sassou-N’Guesso, mais aussi et surtout de s’illustrer en véritables accompagnateurs de cet engagement jamais démenti.
En effet, la résolution appelle les États membres, les ONG, le secteur privé, les peuples autochtones et les scientifiques à s’unir par des actions de boisement et de reboisement. De ce point de vue, renchérit Dominique Obambi « Le devoir nous revient d’initier des actions de préservation de l’environnement sur une durée de 10 ans voire au-delà, afin d’apporter sa plus-value à cette entreprise chère au président Denis Sassou-N’Guesso. »
Dans plusieurs tribunes, tant dans son pays qu’ailleurs, le président Denis Sassou-N’Guesso n’a cessé de faire valoir son attachement à l’écologie et à la préservation de la planète. « En novembre 2022, en Egypte à la tribune de la COP27, quand il propose à l’humanité la décennie de l’afforestation et du reboisement, le président Denis Sassou-N’Guesso, en réalité, réitérait son engagement inébranlable en faveur de la protection de l’environnement. » Pouvait marteler Dominique Obambi, avant d’ajouter « Nous, autres contemporains, devrions se joindre à lui, c’est-à-dire au président Denis Sassou-N’Guesso pour le plus grand succès de cet engagement, qui vend cher le Congo ; une grande diplomatie verte incarnée par Denis Sassou-N’Guesso. »
La résolution onusienne nécessite l’implication de tout le monde
De la proclamation de la journée nationale de l’arbre en 1984 à sa sortie médiatique en novembre 2022, lors de la COP27, à Charm el-Cheikh en Égypte, sans oublier l’organisation au Congo, du 3ème sommet des trois Bassins forestiers tropicaux du Monde, en octobre 2023, de la 1ère conférence internationale sur l’afforestation, en juillet 2024 Denis Sassou-N’Guesso na fait que réconforté sa position de pionnier de la préservation et la gestion durable des écosystèmes forestiers.
De ce fait et en se référant à la résolution onusienne Dominique Obambi souligne l’obligation non seulement de saluer la volonté et la vision de Denis Sassou-N’Guesso, mais aussi et surtout de s’illustrer en véritables accompagnateurs de cet engagement jamais démenti.
En effet, la résolution appelle les États membres, les ONG, le secteur privé, les peuples autochtones et les scientifiques à s’unir par des actions de boisement et de reboisement. De ce point de vue, renchérit Dominique Obambi « Le devoir nous revient d’initier des actions de préservation de l’environnement sur une durée de 10 ans voire au-delà, afin d’apporter sa plus-value à cette entreprise chère au président Denis Sassou-N’Guesso. »