Le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans demeure élevé en Côte d’Ivoire. En effet, ce sont 9% d’enfants qui meurent avant leur cinquième anniversaire. Le plus souvent à cause
de maladies évitables, où que l’on peut traiter à moindre coût. Notamment, le paludisme, la
pneumonie et la diarrhée. De même, la proportion de mères qui meurent à l’accouchement ou peu après avoir donné naissance est également élevée, avec environ 614 décès pour 100 000 naissances
vivantes.
Ainsi, fort de ce constat alarmant, le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, à travers son Programme national de santé mère-enfant (Pnsme) vient de lancer une campagne de sensibilisation multimédia de masse auprès de la population. Pour l’encourager à l’adoption des bonnes pratiques en faveur de la santé de la mère et de l’enfant, en vue de diminuer de façon significative le nombre de décès évitables.
Cette campagne de sensibilisation qui bénéficie du concours du Centre d’information et de communication gouvernementale (Cicg) et du Fonds des nations unies pour l’enfance (Unicef) vise d’une part, à promouvoir la croissance et le développement du
nouveau-né et de l’enfant. Et d’autre part, à prévenir les maladies, la prise en charge de cas simples à domicile et inciter à recourir rapidement aux soins de centres de santé lors de cas graves.
Les pratiques essentielles qui seront véhiculées durant cette campagne concernent : l’importance des consultations prénatales pour les femmes enceintes, la vaccination complète des enfants avant l’âge d’un an. Ainsi que l’allaitement maternel exclusif pour les enfants de 0-6 mois, l’utilisation de moustiquaires imprégnées d’insecticide, pour les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans, le lavage des mains.
Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique a lancé un appel à l’ensemble de la population et plus particulièrement les femmes enceintes et les parents d’enfants de moins de 5 ans à être attentifs et à adopter « ces gestes simples qui sauvent des vies ».
de maladies évitables, où que l’on peut traiter à moindre coût. Notamment, le paludisme, la
pneumonie et la diarrhée. De même, la proportion de mères qui meurent à l’accouchement ou peu après avoir donné naissance est également élevée, avec environ 614 décès pour 100 000 naissances
vivantes.
Ainsi, fort de ce constat alarmant, le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, à travers son Programme national de santé mère-enfant (Pnsme) vient de lancer une campagne de sensibilisation multimédia de masse auprès de la population. Pour l’encourager à l’adoption des bonnes pratiques en faveur de la santé de la mère et de l’enfant, en vue de diminuer de façon significative le nombre de décès évitables.
Cette campagne de sensibilisation qui bénéficie du concours du Centre d’information et de communication gouvernementale (Cicg) et du Fonds des nations unies pour l’enfance (Unicef) vise d’une part, à promouvoir la croissance et le développement du
nouveau-né et de l’enfant. Et d’autre part, à prévenir les maladies, la prise en charge de cas simples à domicile et inciter à recourir rapidement aux soins de centres de santé lors de cas graves.
Les pratiques essentielles qui seront véhiculées durant cette campagne concernent : l’importance des consultations prénatales pour les femmes enceintes, la vaccination complète des enfants avant l’âge d’un an. Ainsi que l’allaitement maternel exclusif pour les enfants de 0-6 mois, l’utilisation de moustiquaires imprégnées d’insecticide, pour les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans, le lavage des mains.
Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique a lancé un appel à l’ensemble de la population et plus particulièrement les femmes enceintes et les parents d’enfants de moins de 5 ans à être attentifs et à adopter « ces gestes simples qui sauvent des vies ».