Lors de son allocution, le représentant de la représentante de l'OMS, Dr. Idriss Mahamat Mai, a souligné l'objectif commun de renforcer le système de santé pour mieux préparer le pays à faire face aux crises sanitaires.
« La sécurité sanitaire est un levier essentiel pour la gestion des crises à l’interface entre l’homme, l’animal et l’environnement. C’est pourquoi l’OMS est fière de soutenir ce plan d’action national, qui vise à identifier et à mobiliser les ressources nécessaires pour une réponse rapide et efficace aux événements de santé publique », a déclaré le Dr. Idriss.
Dans son discours d'ouverture, le secrétaire général du ministère de la Santé publique, Dabsou Guidaoussou, a souligné que cette situation résulte en partie de l'émergence et de la réémergence de nouveaux agents pathogènes, de l'augmentation des flux commerciaux, de la globalisation, et du développement de la Résistance Antimicrobienne (RAM).
Il a également mis en avant les nombreuses urgences de santé publique menaçant la population, notamment les inondations, les accidents chimiques, les conflits armés, et les actes de terrorisme, qui sont de plus en plus fréquents.
« L'Évaluation externe conjointe de juillet 2023 a révélé que le pays n'est toujours pas prêt à répondre de manière prompte et efficace à des urgences majeures. C’est sur la base de ces conclusions que le PANSS 2025-2029 a été élaboré, en suivant les recommandations issues de cette évaluation », a expliqué le secrétaire général.
Cet atelier marque une étape importante pour renforcer les capacités nationales en matière de sécurité sanitaire et mobiliser les acteurs clés afin d’assurer une meilleure résilience face aux crises futures.
« La sécurité sanitaire est un levier essentiel pour la gestion des crises à l’interface entre l’homme, l’animal et l’environnement. C’est pourquoi l’OMS est fière de soutenir ce plan d’action national, qui vise à identifier et à mobiliser les ressources nécessaires pour une réponse rapide et efficace aux événements de santé publique », a déclaré le Dr. Idriss.
Dans son discours d'ouverture, le secrétaire général du ministère de la Santé publique, Dabsou Guidaoussou, a souligné que cette situation résulte en partie de l'émergence et de la réémergence de nouveaux agents pathogènes, de l'augmentation des flux commerciaux, de la globalisation, et du développement de la Résistance Antimicrobienne (RAM).
Il a également mis en avant les nombreuses urgences de santé publique menaçant la population, notamment les inondations, les accidents chimiques, les conflits armés, et les actes de terrorisme, qui sont de plus en plus fréquents.
« L'Évaluation externe conjointe de juillet 2023 a révélé que le pays n'est toujours pas prêt à répondre de manière prompte et efficace à des urgences majeures. C’est sur la base de ces conclusions que le PANSS 2025-2029 a été élaboré, en suivant les recommandations issues de cette évaluation », a expliqué le secrétaire général.
Cet atelier marque une étape importante pour renforcer les capacités nationales en matière de sécurité sanitaire et mobiliser les acteurs clés afin d’assurer une meilleure résilience face aux crises futures.