Le séjour de travail du président Denis Sassou N'Guesso qui se poursuit au bord de l’océan est marqué, chaque jour, par un acte de portée économique. Le chef de l'Etat congolais a, en effet, porté sur les fonds baptismaux, le jeudi 20 février, les Grands Moulins du Congo.
Le président directeur général des Grands Moulins du Kouilou (GMK), société de droit congolais, Amadou Niangadou a présenté sa structure dont la mise en service, a-t-il dit, vient accompagner les efforts des pouvoirs publics dans la diversification de l'économie.
Sa société, créée en 2013, envisage fournir des produits de qualité et contribuer à réduire le déficit du pays en produits agro-industriels, aux Congolais, notamment la farine de blé pour les boulangeries, pâtisseries, biscuiteries et pour la consommation domestique. « La société les Grands moulins du Kouilou fabrique deux types de farine fortifiée en fer conformément aux normes internationales et congolaises avec un faible taux d’humidité », a poursuivi Amadou Niangadou. Selon lui, « La farine panifiable est destinée aux boulangeries et pâtisseries et la farine de ménage, destinée à toutes les formes d’utilisation domestique ».
S’appuyant sur le plan national de développement, le président directeur général de GMK a affirmé que sa structure est une réponse à la vision stratégique du président congolais traduite dans ce plan. En effet, selon le plan national de développement, a-t-il expliqué, « la diversification de l’économie doit être portée par trois secteurs de concentration dont l’agroalimentaire et le secteur industriel ». La création de GMK est selon lui, « une expression de sa contribution au renforcement de la fourniture des produits agroalimentaires de qualité aux populations congolaises ».
Les Grands Moulins du Kouilou affichent, à ce jour, une capacité de 250 tonnes par jour avec un taux d’extension de 75%, a dit son PDG qui a ajouté que sa société produit mensuellement environ 5 000 tonnes de farine et 2 500 tonnes de blé dont 1200 tonnes destinées à l’exportation.
Les nouvelles installations ont permis à créer de 150 emplois directs et environ 550 indirects, a-t-il déclaré. L’entreprise s’est dotée, en 2019, d’une ligne moderne de pâtes alimentaires, adossée à la chaîne de production de la farine, d’une valeur de 3 milliards 742 millions de francs CFA, avec une capacité de production de 1.100kg par heure, pour renforcer son offre en produits alimentaires, selon le PDG de GKM.
Intervenant à son tour, le ministre d’Etat, ministre de l’Economie, de l’industrie et du portefeuille public, Gilbert Ondongo a salué l’avènement de cette nouvelle unité industrielle qui est la conséquence du retour de la paix dans le pays et, surtout, de la confiance que les investisseurs placent en la personne du président Denis Sassou N'Guesso.
Gilbert Ondongo a révélé qu’à ce jour, « l’industrie ne contribue qu’à hauteur de 8% de la formation de la richesse nationale et un peu de 20% du total des emplois recensés dans notre pays ». Cela est un motif pour que l’effort d’industrialisation du Congo se poursuive « sans désemparer », a-t-il poursuivi. « Le contexte économique que nous traversons nous oblige à faire encore plus pour la promotion du secteur privé », a affirmé le ministre d’Etat, ministre de l’Economie, de l’industrie et du portefeuille public.
A noter que la minoterie inaugurée par le président Denis Sassou N'Guesso, le 20 février est la 3ème après Minoco et les Grands moulins du phare inaugurés la veille.
Le président directeur général des Grands Moulins du Kouilou (GMK), société de droit congolais, Amadou Niangadou a présenté sa structure dont la mise en service, a-t-il dit, vient accompagner les efforts des pouvoirs publics dans la diversification de l'économie.
Sa société, créée en 2013, envisage fournir des produits de qualité et contribuer à réduire le déficit du pays en produits agro-industriels, aux Congolais, notamment la farine de blé pour les boulangeries, pâtisseries, biscuiteries et pour la consommation domestique. « La société les Grands moulins du Kouilou fabrique deux types de farine fortifiée en fer conformément aux normes internationales et congolaises avec un faible taux d’humidité », a poursuivi Amadou Niangadou. Selon lui, « La farine panifiable est destinée aux boulangeries et pâtisseries et la farine de ménage, destinée à toutes les formes d’utilisation domestique ».
S’appuyant sur le plan national de développement, le président directeur général de GMK a affirmé que sa structure est une réponse à la vision stratégique du président congolais traduite dans ce plan. En effet, selon le plan national de développement, a-t-il expliqué, « la diversification de l’économie doit être portée par trois secteurs de concentration dont l’agroalimentaire et le secteur industriel ». La création de GMK est selon lui, « une expression de sa contribution au renforcement de la fourniture des produits agroalimentaires de qualité aux populations congolaises ».
Les Grands Moulins du Kouilou affichent, à ce jour, une capacité de 250 tonnes par jour avec un taux d’extension de 75%, a dit son PDG qui a ajouté que sa société produit mensuellement environ 5 000 tonnes de farine et 2 500 tonnes de blé dont 1200 tonnes destinées à l’exportation.
Les nouvelles installations ont permis à créer de 150 emplois directs et environ 550 indirects, a-t-il déclaré. L’entreprise s’est dotée, en 2019, d’une ligne moderne de pâtes alimentaires, adossée à la chaîne de production de la farine, d’une valeur de 3 milliards 742 millions de francs CFA, avec une capacité de production de 1.100kg par heure, pour renforcer son offre en produits alimentaires, selon le PDG de GKM.
Intervenant à son tour, le ministre d’Etat, ministre de l’Economie, de l’industrie et du portefeuille public, Gilbert Ondongo a salué l’avènement de cette nouvelle unité industrielle qui est la conséquence du retour de la paix dans le pays et, surtout, de la confiance que les investisseurs placent en la personne du président Denis Sassou N'Guesso.
Gilbert Ondongo a révélé qu’à ce jour, « l’industrie ne contribue qu’à hauteur de 8% de la formation de la richesse nationale et un peu de 20% du total des emplois recensés dans notre pays ». Cela est un motif pour que l’effort d’industrialisation du Congo se poursuive « sans désemparer », a-t-il poursuivi. « Le contexte économique que nous traversons nous oblige à faire encore plus pour la promotion du secteur privé », a affirmé le ministre d’Etat, ministre de l’Economie, de l’industrie et du portefeuille public.
A noter que la minoterie inaugurée par le président Denis Sassou N'Guesso, le 20 février est la 3ème après Minoco et les Grands moulins du phare inaugurés la veille.