L’histoire nous a révélé que très peu de chefs d’état envoient leur progéniture s’exposer dans des champs de bataille. En disant d’envoyer son fils aux risques inhérents à cette guerre aux aboutissants obscurs contre les « narcodjihadistes » qui avaient investis le nord du Mali, le Président Idriss Deby aurait fait un choix déchirant, celui d’un père qui doit protéger sa progéniture contre la décision d’obliger son fils à accomplir avec loyauté ses devoirs patriotiques en dépit des dangers pouvant le guetter directement à cause de sa filiation. Toucher Mahamat, c’est atteindre le Président Deby au cœur, lui qui avait décidé de prêter main forte à l’opération Serval avec les forces armées tchadiennes en intervention au Mali(Fatim). Il faut avoir un courage hors pair pour engager la chair de sa chair dans les opérations militaires dans un terrain inconnu, en pays étranger.
Notre inquiétude est de voir les insurgés chercher des moyens à lui porter atteinte et saper ainsi le moral des troupes. Nous prions pour que tous les membres des Fatim rentrent sains et sauves auprès de leur proche. Toute perte humaine est inadmissible à notre entendement d’où notre appel à tous nos militaires de redoubler de vigilance et de prudence, mais aussi de faire preuve de professionnalisme dans l’exercice de leur noble mission de défense des couleurs et des intérêts de notre pays. Nous avons en mémoire l’épopée mémorable du jeune militaire qui avait courageusement participé aux meurtriers combats qui s’étaient déroulés à Am-Dam en 2009 où il s’était illustré sur le terrain des opérations aux dires de nombreux témoins. Peut-être ferons-nous exception à la règle en disant que la bataille d’Am-Dam était un de ses premiers faits d’armes et au vu de son engouement, nous doutons que ça sera le dernier dans la bataille pour offrir sa vie pour la défense de la patrie. En notre âme et conscience, nous souhaitons de tout cœur que plus jamais, les coups de feu, les souvenirs des moments tragiques et sanglants que le Tchad a connu ne se reproduisent plus.
Nous préférons de loin aux armes, les bruits des tracteurs, des moissonneuses batteuses, des marteaux piqueurs, les vrombissements de véhicules de chantier parcourant notre pays pour construire les routes, les ponts, les ouvrages de voirie, les hôpitaux, les écoles, les centres de nouvelles technologies, des parcs solaires et éoliens, les installations d’adduction d’eau potable. Nous préférons voir nos militaires s’occuper des travaux de génie et agricoles plutôt que de les exposer aux conflits qui menacent la région, mais pour que les conditions de la stabilité puissent s’installer chez nous et dans la région, il faut combattre le mal et l’extirper à jamais d’où la nécessité de tous les Tchadiens de tous les horizons à conjuguer leur effort pour soutenir d’un élan nos époux, nos filles et fils, nos sœurs et frères engagés sur le théâtre des opérations au Mali.
Nous nous réjouissons que le général Mahamat Idriss Deby Itno ne reçoive pas des privilèges particuliers dus à son rang, en tant que fils du Président tchadien, mais jouit des prérogatives accordés à tous les officiers et soldats tchadiens déployés sur le champ des opérations au Mali. L’intéressé doit faire preuve de modestie et de retenue pour ne pas froisser ses frères d’arme et surtout pour ne pas s’exposer, car il ne doit pas oublier qu’il est une cible de choix, qu’il est le jackpot médiatique inespéré qui fera le chou gras des insurgés, mais aussi bien celui de nos compatriotes passant leur temps à ronger leur ongle sur leur clavier en vomissant leur fiel sur tous ce qui concerne le Tchad, prêts à jubiler sur la mort d’autrui. Nous sommes humains, et nous estimons que la vie est un cadeau sacré, un don de Dieu que nous devons préserver et déplorer sa fin pour chaque être vivant qu’en perd. Nous déplorons et compatissons avec les familles de trois compatriotes pour la mort de nos trois compatriotes partis défendre les intérêts et les couleurs de notre pays au Mali, la nation leur sera à jamais éternellement reconnaissante.
Notre inquiétude est de voir les insurgés chercher des moyens à lui porter atteinte et saper ainsi le moral des troupes. Nous prions pour que tous les membres des Fatim rentrent sains et sauves auprès de leur proche. Toute perte humaine est inadmissible à notre entendement d’où notre appel à tous nos militaires de redoubler de vigilance et de prudence, mais aussi de faire preuve de professionnalisme dans l’exercice de leur noble mission de défense des couleurs et des intérêts de notre pays. Nous avons en mémoire l’épopée mémorable du jeune militaire qui avait courageusement participé aux meurtriers combats qui s’étaient déroulés à Am-Dam en 2009 où il s’était illustré sur le terrain des opérations aux dires de nombreux témoins. Peut-être ferons-nous exception à la règle en disant que la bataille d’Am-Dam était un de ses premiers faits d’armes et au vu de son engouement, nous doutons que ça sera le dernier dans la bataille pour offrir sa vie pour la défense de la patrie. En notre âme et conscience, nous souhaitons de tout cœur que plus jamais, les coups de feu, les souvenirs des moments tragiques et sanglants que le Tchad a connu ne se reproduisent plus.
Nous préférons de loin aux armes, les bruits des tracteurs, des moissonneuses batteuses, des marteaux piqueurs, les vrombissements de véhicules de chantier parcourant notre pays pour construire les routes, les ponts, les ouvrages de voirie, les hôpitaux, les écoles, les centres de nouvelles technologies, des parcs solaires et éoliens, les installations d’adduction d’eau potable. Nous préférons voir nos militaires s’occuper des travaux de génie et agricoles plutôt que de les exposer aux conflits qui menacent la région, mais pour que les conditions de la stabilité puissent s’installer chez nous et dans la région, il faut combattre le mal et l’extirper à jamais d’où la nécessité de tous les Tchadiens de tous les horizons à conjuguer leur effort pour soutenir d’un élan nos époux, nos filles et fils, nos sœurs et frères engagés sur le théâtre des opérations au Mali.
Nous nous réjouissons que le général Mahamat Idriss Deby Itno ne reçoive pas des privilèges particuliers dus à son rang, en tant que fils du Président tchadien, mais jouit des prérogatives accordés à tous les officiers et soldats tchadiens déployés sur le champ des opérations au Mali. L’intéressé doit faire preuve de modestie et de retenue pour ne pas froisser ses frères d’arme et surtout pour ne pas s’exposer, car il ne doit pas oublier qu’il est une cible de choix, qu’il est le jackpot médiatique inespéré qui fera le chou gras des insurgés, mais aussi bien celui de nos compatriotes passant leur temps à ronger leur ongle sur leur clavier en vomissant leur fiel sur tous ce qui concerne le Tchad, prêts à jubiler sur la mort d’autrui. Nous sommes humains, et nous estimons que la vie est un cadeau sacré, un don de Dieu que nous devons préserver et déplorer sa fin pour chaque être vivant qu’en perd. Nous déplorons et compatissons avec les familles de trois compatriotes pour la mort de nos trois compatriotes partis défendre les intérêts et les couleurs de notre pays au Mali, la nation leur sera à jamais éternellement reconnaissante.