Le ministre de la Santé publique et de la Solidarité nationale a répondu lundi aux méfiances de la population sur le vaccin contre la Covid-19 qui devrait être livré au Tchad au cours du premier trimestre 2021.
Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul a relevé que la "suspicion" est "largement répandue, pas seulement au Tchad mais partout dans le monde".
"Cette suspicion ne date pas d'aujourd'hui. À chaque fois qu'il y a eu un vaccin, il y a des théories complotistes. C'est du complotisme pur et dur parce qu'il est difficile à combattre. Vous avez suivi à travers le monde, toutes les personnalités se sont fait vaciner", a déclaré le ministre qui a appelé les médias à joueur leur rôle pour sensibiliser la population et "démêler le faux du vrai".
Les autorités tchadiennes ont demandé à être servi "du même vaccin qui est utilisé dans les pays de fabrication", lors de la demande, a précisé le ministre de la Santé publique.
"Une fois que la vaccin sera disponible, le Maréchal a ordonné que la vaccination se fasse sur la base du volontariat. Personne ne sera obligé", a assuré le ministre.
Un point de presse "sera fait au moment venu" pour déterminer les personnes prioritaires. "Il n'y aura pas d'obligation à le faire", a renchéri Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul.
Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul a relevé que la "suspicion" est "largement répandue, pas seulement au Tchad mais partout dans le monde".
"Cette suspicion ne date pas d'aujourd'hui. À chaque fois qu'il y a eu un vaccin, il y a des théories complotistes. C'est du complotisme pur et dur parce qu'il est difficile à combattre. Vous avez suivi à travers le monde, toutes les personnalités se sont fait vaciner", a déclaré le ministre qui a appelé les médias à joueur leur rôle pour sensibiliser la population et "démêler le faux du vrai".
"Aucun gouvernement du monde aurait un intérêt à accepter qu'u vaccin qui ne soit pas protecteur soit inoculé à sa population. Il y a des procédures, des étapes, des tests. Ce n'est que lorsqu'un candidat au vaccin a franchi toutes ses étapes qu'il peut être inoculé à l'être humain".
Les autorités tchadiennes ont demandé à être servi "du même vaccin qui est utilisé dans les pays de fabrication", lors de la demande, a précisé le ministre de la Santé publique.
"Une fois que la vaccin sera disponible, le Maréchal a ordonné que la vaccination se fasse sur la base du volontariat. Personne ne sera obligé", a assuré le ministre.
Un point de presse "sera fait au moment venu" pour déterminer les personnes prioritaires. "Il n'y aura pas d'obligation à le faire", a renchéri Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul.