TCHAD (Alwihda) - Les premiers changements du système éducatif tchadien prendront forme avec deux petites réformes qui commencent par le bas du cursus scolaire ; la suppression du concours d'entrée en 6ème et du CEPT.
La ministre de l’Enseignement fondamental et de l’alphabétisation, Albatoul Zakaria et celui des Enseignements et de la formation professionnelle secondaires, M. Abdelkérim Seïd Bauch ont lancés la rentrée scolaire hier à Am-Djarass, dans l'Ennedi Est.
L'Etat ne s'est pas directement attaqué au baccalauréat tandis que l'idée d'un probatoire dès les classes de première a vite été oublié.
Ces deux changements n'ont pas fait l'objet d'une étude approfondie mais plutôt adoptés à la va-vite afin d'envoyer un premier signal aux exigences des élèves ; Pour la plupart des enseignants, "ces deux concours ne sont plus importants car ils ont perdus de leur valeur, ils n'empêchent en rien à ceux qui n'ont pas le niveau de le réussir, surtout avec la corruption et la triche". Cette réforme ne devrait pas avoir un impact positif sur le niveau des élèves, on évite surtout de toucher le centre du problème notamment la question des conditions des enseignants.
La ministre de l’Enseignement fondamental et de l’alphabétisation, Albatoul Zakaria et celui des Enseignements et de la formation professionnelle secondaires, M. Abdelkérim Seïd Bauch ont lancés la rentrée scolaire hier à Am-Djarass, dans l'Ennedi Est.
L'Etat ne s'est pas directement attaqué au baccalauréat tandis que l'idée d'un probatoire dès les classes de première a vite été oublié.
Ces deux changements n'ont pas fait l'objet d'une étude approfondie mais plutôt adoptés à la va-vite afin d'envoyer un premier signal aux exigences des élèves ; Pour la plupart des enseignants, "ces deux concours ne sont plus importants car ils ont perdus de leur valeur, ils n'empêchent en rien à ceux qui n'ont pas le niveau de le réussir, surtout avec la corruption et la triche". Cette réforme ne devrait pas avoir un impact positif sur le niveau des élèves, on évite surtout de toucher le centre du problème notamment la question des conditions des enseignants.