A l'occasion de la cérémonie de remise des prix aux lauréates de la 2ème compétition nationale féminine du Saint Coran, la Première Dame, Hinda Deby Itno, qui a prit la parole pour féliciter les jeunes filles religieuses, a appelé les participants à prier pour la paix et la stabilité au pays. C'est comme ça qu'à la fin de la cérémonie, tout le monde a imploré Dieu pour baigner le Tchad de sa grâce, pour que le Tchad continue à vivre en paix et en sécurité. La première Dame a encouragé les jeunes femmes à apprendre le Saint Coran. De son côté, L'Imam Hassan Hissène a souligné que Dieu répond aux prières de ses serviteurs et a remercié la première dame pour être au service du Saint Coran.
Le président du Conseil supérieur des affaires islamiques du Tchad, a appelé les femmes à se voiler et non se "burquer". "Je vous conseille de se voiler et ne pas couvrir le visage et les mains", a insisté l'imam Hassan Hissène. Il a déconseillé aux femmes d'utiliser la Burqua, dont l'islam ne l'exige pas, selon lui. L'imam a prononcé un discours dans lequel il a précisé que la situation des musulmans au Tchad s’est améliorée. Deux mauvais phénomènes ont disparu au Tchad. Contrairement aux années dernières, les enfants ne font plus la manche dans les rues, a affirmé l'imam. " 90 % des enfants qui font la manche dans les rues sont des étrangers", a tenu à indiquer l'imam, défiant toute personne de lui prouver le contraire. Selon l'Imam Hassan Hissène, le problème a été résolu avec la construction de centres et de foyers au pays. Un deuxième phénomène concerne les "marabouts", ceux qui apprennent le coran et qui ne savent où aller. Cette catégorie de personnes sera désormais formée et intégrée dans la vie sociale. Désormais il n y aura plus un "marabout" escroc ou chômeur a averti l'imam.
Enfin, le président du conseil supérieur islamique, a promis, aux filles, d'ouvrir à partir de l'année prochaine un institut des filles pour le coran.
Le Conseil Supérieur des Affaires islamiques du Tchad a organisé, ce samedi, 30 mars, dans la grande salle des affaires étrangères, à N'djamena, une grande cérémonie de remise des prix aux lauréates de la 2ème compétition nationale féminine du Saint Coran. En présence de la première dame Hinda Deby Itno, des membres des grandes institutions et du gouvernement, des représentants des organisations et de diplomates, et des délégations étrangères.
Le président du Conseil supérieur des affaires islamiques du Tchad, a appelé les femmes à se voiler et non se "burquer". "Je vous conseille de se voiler et ne pas couvrir le visage et les mains", a insisté l'imam Hassan Hissène. Il a déconseillé aux femmes d'utiliser la Burqua, dont l'islam ne l'exige pas, selon lui. L'imam a prononcé un discours dans lequel il a précisé que la situation des musulmans au Tchad s’est améliorée. Deux mauvais phénomènes ont disparu au Tchad. Contrairement aux années dernières, les enfants ne font plus la manche dans les rues, a affirmé l'imam. " 90 % des enfants qui font la manche dans les rues sont des étrangers", a tenu à indiquer l'imam, défiant toute personne de lui prouver le contraire. Selon l'Imam Hassan Hissène, le problème a été résolu avec la construction de centres et de foyers au pays. Un deuxième phénomène concerne les "marabouts", ceux qui apprennent le coran et qui ne savent où aller. Cette catégorie de personnes sera désormais formée et intégrée dans la vie sociale. Désormais il n y aura plus un "marabout" escroc ou chômeur a averti l'imam.
Enfin, le président du conseil supérieur islamique, a promis, aux filles, d'ouvrir à partir de l'année prochaine un institut des filles pour le coran.
Le Conseil Supérieur des Affaires islamiques du Tchad a organisé, ce samedi, 30 mars, dans la grande salle des affaires étrangères, à N'djamena, une grande cérémonie de remise des prix aux lauréates de la 2ème compétition nationale féminine du Saint Coran. En présence de la première dame Hinda Deby Itno, des membres des grandes institutions et du gouvernement, des représentants des organisations et de diplomates, et des délégations étrangères.