Le secrétaire général de l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad (ADHET), Abba Daoud Nandjede. Alwihda Info
Le secrétaire général de l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad (ADHET), Abba Daoud Nandjede a fait, ce vendredi 2 février 2018, au CEFOD, un point de presse pour appeler les différents acteurs à l’apaisement, au dialogue et à la reprise pour la sauvegarde de l’intérêt général.
L’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad (ADHET) appelle le gouvernement et les syndicats à faire des concessions. Elle les rappelle à l’apaisement et à une hauteur de vue pour "un dialogue urgent en vue d’une solution urgente".
Elle rappelle que le durcissement de position n’est pas de nature syndicale, avant de souligner qu’un syndicaliste est un homme de lutte, toujours disponible au dialogue pour une sortie de crise.
Le secrétaire général de l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad (ADHET), Abba Daoud Nandjede affirme qu’il est légal d’appeler à la grève en tant que mode d’action syndicale. Selon lui, une grève sèche et illimitée n’est pas une solution. « Une grève de cette ampleur a des conséquences socio-économique incalculable. L’administration territoriale à l’arrêt pendant que des usagers en quête des documents administratifs sont contraint à attendre, les décisions de justice suspendues, les écoles et universités fermées, les hôpitaux au régime minimal ou fermés avec des milliers de malades faute de soins ou de rupture de soin. Cela entraine un nombre impressionnant de décès d’hommes, de femmes et d’enfants, dont l’enterrement se fait tous les jours, où en laissant des femmes en travail dans des situations périlleuses », explique-t-il.
L’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad (ADHET) estime qu'il faut attirer l’attention des leaders des partis politiques. De plus, le gouvernement doit noter que la répression systématique des manifestants attise la tension et demeure passible de poursuites dont la prescription n’est pas limitée dans le temps.
L’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad (ADHET) appelle le gouvernement et les syndicats à faire des concessions. Elle les rappelle à l’apaisement et à une hauteur de vue pour "un dialogue urgent en vue d’une solution urgente".
Elle rappelle que le durcissement de position n’est pas de nature syndicale, avant de souligner qu’un syndicaliste est un homme de lutte, toujours disponible au dialogue pour une sortie de crise.
Le secrétaire général de l’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad (ADHET), Abba Daoud Nandjede affirme qu’il est légal d’appeler à la grève en tant que mode d’action syndicale. Selon lui, une grève sèche et illimitée n’est pas une solution. « Une grève de cette ampleur a des conséquences socio-économique incalculable. L’administration territoriale à l’arrêt pendant que des usagers en quête des documents administratifs sont contraint à attendre, les décisions de justice suspendues, les écoles et universités fermées, les hôpitaux au régime minimal ou fermés avec des milliers de malades faute de soins ou de rupture de soin. Cela entraine un nombre impressionnant de décès d’hommes, de femmes et d’enfants, dont l’enterrement se fait tous les jours, où en laissant des femmes en travail dans des situations périlleuses », explique-t-il.
L’Alliance des Défenseurs des Droits Humains et de l’Environnement au Tchad (ADHET) estime qu'il faut attirer l’attention des leaders des partis politiques. De plus, le gouvernement doit noter que la répression systématique des manifestants attise la tension et demeure passible de poursuites dont la prescription n’est pas limitée dans le temps.