Crédit photo: proparco.fr
N'DJAMENA (TCHAD) - La Compagnie Sucrière du Tchad (CST) menace d'arrêter sa production d'ici quelques jours, si des mesures ne sont pas prises par le gouvernement, face à une concurrence frauduleuse "de plus en plus forte".
La CST est au bord du gouffre. Selon N’Djaména Bi-hebdo, la compagnie ne vend plus un kilogramme de sucre depuis trois semaines.
"Si la CST ne vend pas, il y aura des tensions de trésorerie", affirme le directeur Commercial de la CST, Yacoub Mahamat Yacoub.
A cause de la concurrence frauduleuse déloyale, la CST a dû, l’année dernière, fermer son agglomération et sa confiserie du quartier Farcha à N’Djaména licenciant du coup 380 agents. Il a également arrêté la production du sucre en pain et en morceaux ainsi que l’importation.
Aujourd’hui, la production du sucre en conditionnement est menacée. Les dirigeants de la société sont clairs : « si on ne trouve pas de solution d’ici quelques jours, on va arrêter la production », prévient Patrick Cailleau, directeur général adjoint. La solution selon lui est que tous les acteurs du secteur soient assujettis à la même réglementation en vigueur. C’est-à-dire, paient la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), les droits de douane et la taxe communautaire de la même manière.
La CST est au bord du gouffre. Selon N’Djaména Bi-hebdo, la compagnie ne vend plus un kilogramme de sucre depuis trois semaines.
"Si la CST ne vend pas, il y aura des tensions de trésorerie", affirme le directeur Commercial de la CST, Yacoub Mahamat Yacoub.
A cause de la concurrence frauduleuse déloyale, la CST a dû, l’année dernière, fermer son agglomération et sa confiserie du quartier Farcha à N’Djaména licenciant du coup 380 agents. Il a également arrêté la production du sucre en pain et en morceaux ainsi que l’importation.
Aujourd’hui, la production du sucre en conditionnement est menacée. Les dirigeants de la société sont clairs : « si on ne trouve pas de solution d’ici quelques jours, on va arrêter la production », prévient Patrick Cailleau, directeur général adjoint. La solution selon lui est que tous les acteurs du secteur soient assujettis à la même réglementation en vigueur. C’est-à-dire, paient la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), les droits de douane et la taxe communautaire de la même manière.