
Edouard Firmin Matoko
Le représentant du Congo à l’UNESCO a pris la parole, le 8 avril lors de la plénière de la 221ème session du Conseil exécutif de cette agence onusienne pour annoncer que son pays, « la République du Congo a décidé souverainement de présenter la candidature de M. Edouard Firmin Matoko au poste de directeur général de l’UNESCO ».
Selon l’ambassadeur, Henri Ossebi, beaucoup d’atouts font du congolais, un candidat qui idéal pour la direction générale de l’UNESCO. « … la longue expérience de l’UNESCO acquise en interne par M. Edouard Firmin Matoko, sa connaissance fine des dossiers de l’UNESCO, ainsi que son expérience managériale, cumulée avec ses qualités humaines intrinsèques, parmi lesquelles, notamment son empathie et son humilité, font de lui un candidat, consensuel et inclusif, pour assurer valablement la direction de l’UNESCO », a déclaré l’ambassadeur.
Plantant le décor de cette candidature, Henri Ossebi a rappelé à son auditoire le chef le rôle majeur que joue le Congo dans la résolution des conflits, à travers son président, « Denis Sassou N’Guesso qui a présidé à deux reprises aux destinées de l’Union africaine et préside actuellement le Comité de Haut niveau de l’Union africaine sur la réconciliation en Lybie ».
Le diplomate congolais a également rappelé le contexte mondial dans lequel se tient cette session ; un contexte « marqué notamment par des dynamiques complexes, faites d’incertitudes économiques et financières, de guerres et de tensions géopolitiques internationales, d’aggravation des effets de la crise climatique et de raidissements idéologiques susceptibles d’affecter la culture de la tolérance chère à l’UNESCO ».
En cette fin de mandat du conseil exécutif, l’ambassadeur Henri Ossebi, a au nom de son pays, salué les acquis que « l’Afrique et l’UNESCO ont pu engranger, notamment, la progression spectaculaire du niveau des contributions volontaires au budget général de l’UNESCO, de la hausse du niveau de la représentation africaine au sein du secrétariat, de l’éligibilité de plusieurs pays africains aux ressources du « Partenariat mondial pour l’éducation », grâce à la "Priorité Afrique" placée sous l'égide de la directrice générale, madame Audrey Azoulay.
Signalons que le directeur général de l’UNESCO est proposé par le conseil exécutif et nommé par la conférence générale. Il est nommé initialement pour quatre ans et peut être reconduit pour un nouveau mandat de quatre ans. Outre la candidature du congolais, Edouard Firmin Matoko, deux autres ont été enregistrées au cours de cette 221ème session du conseil exécutif. Il s’agit de celles de l’égyptien, Khaled Ahmed El-Enany Ali Ezz et de la mexicaine, Gabriela Ilian Ramos Patiño.
Selon l’ambassadeur, Henri Ossebi, beaucoup d’atouts font du congolais, un candidat qui idéal pour la direction générale de l’UNESCO. « … la longue expérience de l’UNESCO acquise en interne par M. Edouard Firmin Matoko, sa connaissance fine des dossiers de l’UNESCO, ainsi que son expérience managériale, cumulée avec ses qualités humaines intrinsèques, parmi lesquelles, notamment son empathie et son humilité, font de lui un candidat, consensuel et inclusif, pour assurer valablement la direction de l’UNESCO », a déclaré l’ambassadeur.
Plantant le décor de cette candidature, Henri Ossebi a rappelé à son auditoire le chef le rôle majeur que joue le Congo dans la résolution des conflits, à travers son président, « Denis Sassou N’Guesso qui a présidé à deux reprises aux destinées de l’Union africaine et préside actuellement le Comité de Haut niveau de l’Union africaine sur la réconciliation en Lybie ».
Le diplomate congolais a également rappelé le contexte mondial dans lequel se tient cette session ; un contexte « marqué notamment par des dynamiques complexes, faites d’incertitudes économiques et financières, de guerres et de tensions géopolitiques internationales, d’aggravation des effets de la crise climatique et de raidissements idéologiques susceptibles d’affecter la culture de la tolérance chère à l’UNESCO ».
En cette fin de mandat du conseil exécutif, l’ambassadeur Henri Ossebi, a au nom de son pays, salué les acquis que « l’Afrique et l’UNESCO ont pu engranger, notamment, la progression spectaculaire du niveau des contributions volontaires au budget général de l’UNESCO, de la hausse du niveau de la représentation africaine au sein du secrétariat, de l’éligibilité de plusieurs pays africains aux ressources du « Partenariat mondial pour l’éducation », grâce à la "Priorité Afrique" placée sous l'égide de la directrice générale, madame Audrey Azoulay.
Signalons que le directeur général de l’UNESCO est proposé par le conseil exécutif et nommé par la conférence générale. Il est nommé initialement pour quatre ans et peut être reconduit pour un nouveau mandat de quatre ans. Outre la candidature du congolais, Edouard Firmin Matoko, deux autres ont été enregistrées au cours de cette 221ème session du conseil exécutif. Il s’agit de celles de l’égyptien, Khaled Ahmed El-Enany Ali Ezz et de la mexicaine, Gabriela Ilian Ramos Patiño.