Tchad : La HAMA annonce la disponibilité de la carte professionnelle de presse.
Le président de la Commission nationale de la carte d’identité du journaliste professionnel (CNCIJP), Abderrahmane Barka, a annoncé mercredi la disponibilité de la carte professionnelle de presse.
Après avoir été suspendue depuis plusieurs mois par la Haute autorité des médias et de l’audiovisuel (HAMA), la Commission reprend immédiatement la délivrance de la carte et accorde un délai de deux semaines aux demandeurs pour déposer leurs dossiers.
Le président de la CNCIJP, Abdéramane Barka, souligne que la présentation de la carte d’identité du journaliste professionnel, qui atteste de la qualité de journaliste plus par l’exercice du métier que par le diplôme de formation dans cette profession, permet au titulaire, selon la loi n°31 ratifiant l’ordonnance 25, "d’accéder librement, à tout moment, aux aérodromes habituellement réservés aux voyageurs, à l’embarquement et au débarquement ; de franchir les cordons des services d’ordre et de sécurité, et d’accéder aux lieux où se déroulent un événement public."
Elle permet également de bénéficier, dans l’exercice de sa profession, de la priorité aux guichets des postes et télécommunications, en général, et, particulièrement, pour l’obtention de communications téléphoniques, de télex, de télécopie ou de l’internet, ainsi que d’obtenir des facilités dans les agences de voyages.
La Commission nationale explique que tous ceux qui peuvent se faire délivrer devront être journalistes professionnels, c’est-à-dire ceux qui ont pour occupation principale, régulière et rétribuée l’exercice de cette profession dans une entreprise de presse.
Les autres bénéficiaires de cette carte sont des journalistes assimilés, à savoir les collaborateurs permanents de rédactions, notamment les rédacteurs-traducteurs, les rédacteurs-réviseurs, les sténographes-rédacteurs, les infographes et dessinateurs, à l’exclusion des agents de publicité et de tous ceux qui n’apportent à un titre quelconque qu’une collaboration occasionnelle, journalistes pigistes, c’est-à-dire des collaborateurs occasionnels rétribués d’un ou de plusieurs organes de presse écrite, audiovisuelle ou en ligne qui tirent 40% de leurs revenus de cette activité, journalistes correspondants de presse, qui sont des collaborateurs occasionnels rétribués d’un organe de presse écrite, audiovisuelle ou en ligne.
Toute personne exerçant la profession, pour pouvoir avoir accès à la carte professionnelle, doit adresser sa demande à la Commission nationale de la carte d’identité du journaliste professionnel (CNCIJP), avec les pièces suivantes :
- Une copie de son contrat de travail ;
- Une copie recto verso de sa carte nationale d’identité ou de son passeport ;
- Une copie de ses trois derniers bulletins de salaires ;
- Un certificat de l’employeur spécifiant exactement la fonction exercée et le montant des appointements ;
- Un curriculum vitae ;
- Un certificat de l’employeur certifiant que le journalisme est bien la profession principale et régulière ;
- Un certificat de l’employeur précisant, outre la qualification exacte, le montant des piges perçues sur une période, pour les collaborateurs rémunérés à la pige ;
- Un extrait du casier judiciaire datant de moins de trois mois ;
- Un certificat de nationalité ;
- Une copie du titre de séjour ou de la carte de résidence, pour les journalistes étrangers ;
- Deux photos d’identité ;
- 3 000 FCFA de frais de dossier.
Après avoir été suspendue depuis plusieurs mois par la Haute autorité des médias et de l’audiovisuel (HAMA), la Commission reprend immédiatement la délivrance de la carte et accorde un délai de deux semaines aux demandeurs pour déposer leurs dossiers.
Le président de la CNCIJP, Abdéramane Barka, souligne que la présentation de la carte d’identité du journaliste professionnel, qui atteste de la qualité de journaliste plus par l’exercice du métier que par le diplôme de formation dans cette profession, permet au titulaire, selon la loi n°31 ratifiant l’ordonnance 25, "d’accéder librement, à tout moment, aux aérodromes habituellement réservés aux voyageurs, à l’embarquement et au débarquement ; de franchir les cordons des services d’ordre et de sécurité, et d’accéder aux lieux où se déroulent un événement public."
Elle permet également de bénéficier, dans l’exercice de sa profession, de la priorité aux guichets des postes et télécommunications, en général, et, particulièrement, pour l’obtention de communications téléphoniques, de télex, de télécopie ou de l’internet, ainsi que d’obtenir des facilités dans les agences de voyages.
La Commission nationale explique que tous ceux qui peuvent se faire délivrer devront être journalistes professionnels, c’est-à-dire ceux qui ont pour occupation principale, régulière et rétribuée l’exercice de cette profession dans une entreprise de presse.
Les autres bénéficiaires de cette carte sont des journalistes assimilés, à savoir les collaborateurs permanents de rédactions, notamment les rédacteurs-traducteurs, les rédacteurs-réviseurs, les sténographes-rédacteurs, les infographes et dessinateurs, à l’exclusion des agents de publicité et de tous ceux qui n’apportent à un titre quelconque qu’une collaboration occasionnelle, journalistes pigistes, c’est-à-dire des collaborateurs occasionnels rétribués d’un ou de plusieurs organes de presse écrite, audiovisuelle ou en ligne qui tirent 40% de leurs revenus de cette activité, journalistes correspondants de presse, qui sont des collaborateurs occasionnels rétribués d’un organe de presse écrite, audiovisuelle ou en ligne.
Toute personne exerçant la profession, pour pouvoir avoir accès à la carte professionnelle, doit adresser sa demande à la Commission nationale de la carte d’identité du journaliste professionnel (CNCIJP), avec les pièces suivantes :
- Une copie de son contrat de travail ;
- Une copie recto verso de sa carte nationale d’identité ou de son passeport ;
- Une copie de ses trois derniers bulletins de salaires ;
- Un certificat de l’employeur spécifiant exactement la fonction exercée et le montant des appointements ;
- Un curriculum vitae ;
- Un certificat de l’employeur certifiant que le journalisme est bien la profession principale et régulière ;
- Un certificat de l’employeur précisant, outre la qualification exacte, le montant des piges perçues sur une période, pour les collaborateurs rémunérés à la pige ;
- Un extrait du casier judiciaire datant de moins de trois mois ;
- Un certificat de nationalité ;
- Une copie du titre de séjour ou de la carte de résidence, pour les journalistes étrangers ;
- Deux photos d’identité ;
- 3 000 FCFA de frais de dossier.