Ouvrant la cérémonie, Jean Bernard Padaré a rappelé le travail effectué par le Conseil Constitutionnel en amont des élections législatives, notamment la formation des formateurs et des superviseurs dans les 23 provinces du pays, ainsi que la formation des personnels d'appui en techniques de dépouillement et de saisie des données.
Conscient du rôle des partis politiques, le Conseil a élaboré un guide des candidats aux législatives du 29 décembre 2024 et des requérants en matière de contentieux. Ce document a été distribué aux différents partis politiques lors d'une journée d'échanges organisée en collaboration avec le PNUD.
Conformément aux dispositions de l'article 37, alinéa 2, de la loi organique, le Conseil Constitutionnel a déployé sur le terrain, le jour du scrutin, des superviseurs chargés de suivre les opérations électorales et de lui en faire rapport.
Gestion des contentieux
Afin de gérer efficacement les contentieux électoraux, plusieurs commissions ont été mises en place, notamment :
Progrès en matière de parité
S'agissant de la question du genre, Maître Jean Bernard Padaré a souligné que l'ordonnance 012/PR/2012 du 22 mai 2018, instituant la parité dans les fonctions électives et nominatives en République du Tchad, a permis une nette évolution de la place des femmes dans les fonctions nominatives.
Il a expliqué que, pour la première fois dans l'histoire du pays, une loi pose comme condition de validité des listes électorales le respect de la parité. « La 4ème législature, qui sera mise en place dans les jours à venir, comptera 64 femmes députées sur 188 députés, soit 34 %. Cela représente une progression significative par rapport à la 1ère législature (2 femmes sur 125, soit 1 %), la 2ème législature (9 femmes sur 155, soit 5,8 %), la 3ème législature (29 femmes sur 188, soit 15,4 %) et le Conseil National de Transition (53 femmes sur 203, soit 26 %) », a-t-il déclaré.
Jean Bernard Padaré a expliqué qu'à la lumière de ces données statistiques, la question du genre tient à cœur les plus hautes autorités. Il les a exhortées à poursuivre les réformes engagées dans ce domaine pour renforcer davantage la parité et l'égalité des genres.
Conscient du rôle des partis politiques, le Conseil a élaboré un guide des candidats aux législatives du 29 décembre 2024 et des requérants en matière de contentieux. Ce document a été distribué aux différents partis politiques lors d'une journée d'échanges organisée en collaboration avec le PNUD.
Conformément aux dispositions de l'article 37, alinéa 2, de la loi organique, le Conseil Constitutionnel a déployé sur le terrain, le jour du scrutin, des superviseurs chargés de suivre les opérations électorales et de lui en faire rapport.
Gestion des contentieux
Afin de gérer efficacement les contentieux électoraux, plusieurs commissions ont été mises en place, notamment :
- La commission chargée de la réception des procès-verbaux,
- La commission chargée du dépouillement,
- La commission chargée du traitement des procès-verbaux,
- La commission chargée des requêtes.
Progrès en matière de parité
S'agissant de la question du genre, Maître Jean Bernard Padaré a souligné que l'ordonnance 012/PR/2012 du 22 mai 2018, instituant la parité dans les fonctions électives et nominatives en République du Tchad, a permis une nette évolution de la place des femmes dans les fonctions nominatives.
Il a expliqué que, pour la première fois dans l'histoire du pays, une loi pose comme condition de validité des listes électorales le respect de la parité. « La 4ème législature, qui sera mise en place dans les jours à venir, comptera 64 femmes députées sur 188 députés, soit 34 %. Cela représente une progression significative par rapport à la 1ère législature (2 femmes sur 125, soit 1 %), la 2ème législature (9 femmes sur 155, soit 5,8 %), la 3ème législature (29 femmes sur 188, soit 15,4 %) et le Conseil National de Transition (53 femmes sur 203, soit 26 %) », a-t-il déclaré.
Jean Bernard Padaré a expliqué qu'à la lumière de ces données statistiques, la question du genre tient à cœur les plus hautes autorités. Il les a exhortées à poursuivre les réformes engagées dans ce domaine pour renforcer davantage la parité et l'égalité des genres.