Le PSF a dénoncé les événements du 28 février comme un exemple des dérives autoritaires du régime actuel, qui, selon le parti, ne recule devant rien pour se maintenir au pouvoir. Gam Robert a souligné que six mois après ces événements, le régime tente de justifier l’injustifiable et refuse d'ouvrir une enquête, alimentant ainsi les spéculations sur les véritables circonstances de ce drame politique.
Il a averti que ce refus contribue à un sentiment d'impunité et menace la stabilité fragile du pays.
Le PSF a également exprimé son indignation face à la situation des militants interpellés le 28 février et déportés à Koro Toro, qui ne sont toujours pas libérés comme annoncé lors des audiences foraines du 4 juin 2024. Le parti exige la libération immédiate et sans conditions de tous les prisonniers, accordant un délai maximum d'un mois au régime. Passé ce délai, le PSF prévoit d'organiser des contestations à travers le pays. Gam Robert a déclaré : "Nous allons démontrer au pouvoir en place que nous allons honorer la mémoire de nos camarades morts pour la justice."
Le PSF a également annoncé la tenue prochaine d'un congrès extraordinaire, soulignant que de nombreux Tchadiens ont compris tardivement l'engagement de Yaya Dillo et sont prêts à rejoindre le parti pour défendre ses idéaux.
Concernant la loi sur le découpage administratif et la répartition des sièges de députés, le PSF exige son abrogation pure et simple. Le parti a déclaré son intention de ne pas participer au processus électoral en cours tant que la transparence et la justice ne seront pas garanties.
Il a averti que ce refus contribue à un sentiment d'impunité et menace la stabilité fragile du pays.
Le PSF a également exprimé son indignation face à la situation des militants interpellés le 28 février et déportés à Koro Toro, qui ne sont toujours pas libérés comme annoncé lors des audiences foraines du 4 juin 2024. Le parti exige la libération immédiate et sans conditions de tous les prisonniers, accordant un délai maximum d'un mois au régime. Passé ce délai, le PSF prévoit d'organiser des contestations à travers le pays. Gam Robert a déclaré : "Nous allons démontrer au pouvoir en place que nous allons honorer la mémoire de nos camarades morts pour la justice."
Le PSF a également annoncé la tenue prochaine d'un congrès extraordinaire, soulignant que de nombreux Tchadiens ont compris tardivement l'engagement de Yaya Dillo et sont prêts à rejoindre le parti pour défendre ses idéaux.
Concernant la loi sur le découpage administratif et la répartition des sièges de députés, le PSF exige son abrogation pure et simple. Le parti a déclaré son intention de ne pas participer au processus électoral en cours tant que la transparence et la justice ne seront pas garanties.