Le Réseau Tchadien de Suivi et Évaluation a ouvert ce jeudi 25 février 2021, un atelier de formation sur le thème : « méthodes et outils de suivi et évaluation », au profit des évaluateurs émergents des services étatiques sectoriels et des organisations de la société civile. Ces assises organisées à la Maison de la Femme prendront fin le 27 février prochain. Le Réseau Tchadien de Suivi et Evaluation a été créé par un groupe d’experts nationaux et s’est fixé pour objectif, la promotion de la culture de l’évaluation au Tchad. Il promet la théorie et la pratique de l’évaluation, le renforcement des capacités nationales en conception, planification et réalisation des évaluations en accord avec les normes professionnelles reconnues, la promotion de l’éthique professionnelle dans la pratique de l’évaluation et la promotion des échanges de compétences, entre ses membres à travers les formations, les réunions et interactions avec les autres partenaires qui poursuivent le même but.
A l’ouverture de l’atelier, la vice-présidente du Réseau Tchadien de Suivi et Evaluation, Mme Odile Yamtourbaye révèle que, l’objectif visé par cette formation est de soutenir le développement professionnel des évaluateurs émergents du Tchad à l’axe 1 de l’agenda global des évaluateurs émergents qui stipule leur soutien et développement professionnel pour améliorer l’offre en évaluation dans l’espace francophone. L’approche qui sera mise en œuvre pour le déroulement de cette formation se veut participative, car c’est dans les échanges que nous allons avoir une compréhension harmonieuse de ces méthodes gages du succès de notre atelier de formation a-t-elle soulevé.
Pour la représentante du ministre de l’Economie, de la Planification du développement et de la Coopération internationale, par ailleurs directrice adjointe de la direction suivi-évaluation des politiques stratégiques développement, le suivi et évaluation est un concept incontournable, car la réussite de tout programme ou projet du développement nécessite un mécanisme de suivi-évaluation efficace pour permettre de corriger les erreurs afin d’atteindre les résultats escomptés de manière efficace et efficiente, car l’échec de la plupart des projets et programmes dans les pays en développement est lié majoritairement à l’inefficacité des mécanismes de suivi-évaluation.
Elle a rappelé que la formation initiée par le Réseau Tchadien de Suivi et Évaluation vient à un moment où le suivi-évaluation est devenu un levier incontournable pour le développement. Ce mécanisme de suivi-évaluation nécessite un gros investissement dans le domaine de ressources humaines, financières et matérielles et le gouvernement compte sur l’appui de ses partenaires techniques et financiers pour relever ce grand défi a-t-elle poursuivie.
Le représentant de l’UNICEF, Rodolphe Missinhoun, chef politique social, planification et suivi-évaluation UNICEF, rappelle que l’UNICEF a pour mandat de faire la promotion et la protection des droits des enfants et de ce fait, accompagne le gouvernement à créer un environnement favorable, à définir et mettre en ligne, des politiques de programmes et projets qui permettent d’assurer la protection et la promotion des droits de l’enfant.
Pour y parvenir, « il est essentiel d’avoir un système de suivi et évaluation performant qui permettra de faire un suivi approprié des politiques des programmes que nous définissons leurs mises en œuvre, mais aussi nous avons la politique de l’évaluation qui permet d’aller au-delà de suivi et faire un jugement sur les mérites et la qualité des programmes que nous menons pour que nous puissions juger les points forts et les points faibles », a détaillé le représentant de l’UNICEF, Rodolphe Missinhoun. Ce dernier affirme que le but, en travaillant avec le gouvernement, et avec le Réseau Tchadien de Suivi et Évaluation, c’est d’arriver à créer un réseau local d’expertise, capable de définir et de mettre en œuvre un système national de suivi et évaluation performant.
A l’ouverture de l’atelier, la vice-présidente du Réseau Tchadien de Suivi et Evaluation, Mme Odile Yamtourbaye révèle que, l’objectif visé par cette formation est de soutenir le développement professionnel des évaluateurs émergents du Tchad à l’axe 1 de l’agenda global des évaluateurs émergents qui stipule leur soutien et développement professionnel pour améliorer l’offre en évaluation dans l’espace francophone. L’approche qui sera mise en œuvre pour le déroulement de cette formation se veut participative, car c’est dans les échanges que nous allons avoir une compréhension harmonieuse de ces méthodes gages du succès de notre atelier de formation a-t-elle soulevé.
Pour la représentante du ministre de l’Economie, de la Planification du développement et de la Coopération internationale, par ailleurs directrice adjointe de la direction suivi-évaluation des politiques stratégiques développement, le suivi et évaluation est un concept incontournable, car la réussite de tout programme ou projet du développement nécessite un mécanisme de suivi-évaluation efficace pour permettre de corriger les erreurs afin d’atteindre les résultats escomptés de manière efficace et efficiente, car l’échec de la plupart des projets et programmes dans les pays en développement est lié majoritairement à l’inefficacité des mécanismes de suivi-évaluation.
Elle a rappelé que la formation initiée par le Réseau Tchadien de Suivi et Évaluation vient à un moment où le suivi-évaluation est devenu un levier incontournable pour le développement. Ce mécanisme de suivi-évaluation nécessite un gros investissement dans le domaine de ressources humaines, financières et matérielles et le gouvernement compte sur l’appui de ses partenaires techniques et financiers pour relever ce grand défi a-t-elle poursuivie.
Le représentant de l’UNICEF, Rodolphe Missinhoun, chef politique social, planification et suivi-évaluation UNICEF, rappelle que l’UNICEF a pour mandat de faire la promotion et la protection des droits des enfants et de ce fait, accompagne le gouvernement à créer un environnement favorable, à définir et mettre en ligne, des politiques de programmes et projets qui permettent d’assurer la protection et la promotion des droits de l’enfant.
Pour y parvenir, « il est essentiel d’avoir un système de suivi et évaluation performant qui permettra de faire un suivi approprié des politiques des programmes que nous définissons leurs mises en œuvre, mais aussi nous avons la politique de l’évaluation qui permet d’aller au-delà de suivi et faire un jugement sur les mérites et la qualité des programmes que nous menons pour que nous puissions juger les points forts et les points faibles », a détaillé le représentant de l’UNICEF, Rodolphe Missinhoun. Ce dernier affirme que le but, en travaillant avec le gouvernement, et avec le Réseau Tchadien de Suivi et Évaluation, c’est d’arriver à créer un réseau local d’expertise, capable de définir et de mettre en œuvre un système national de suivi et évaluation performant.