En prélude de la journée internationale des enseignants qui est célébré le 5 octobre de chaque année, le président du SYNECS (Syndicat National des Enseignants et chercheurs du Supérieur) a fait une déclaration au cours d'un point de presse ce mercredi 4 octobre 2017 à son siège dans l'enceinte du Centre de Documentation de l'Université de N'Djaména.
La journée internationale des enseignants est une opportunité pour les enseignants du monde en général et ceux du Tchad de faire de la sensibilisation sur l'importance et le rôle des enseignants dans le système éducatif, tout en examinant la qualité des formateurs de par le monde.
Dr. Guirayo Jérémie, président du SYNECS, a dans sa déclaration liminaire indiqué qu'au Tchad, la journée internationale de l'enseignant est l'occasion de mettre l'accent sur le travail abattu, combien vital, le professionnalisme et l'implication des enseignants pour l'avancement de la société tchadienne.
Il rappelle que cette journée permet surtout de reconnaitre, de valoriser et de soutenir le travail abattu par des enseignants, et de leur fournir les meilleures conditions pour exercer leur profession. Il poursuit en estimant que c'est dans cette optique que le bureau exécutif national du SYNECS exhorte les enseignants à demeurer vigilants. Selon le bureau, les 16 mesures qui font la misère des fonctionnaires tchadiens, demeurent toujours en vigueur. Le SYNECS demande au gouvernement de lever purement et simplement ces mesures.
Pendant que la rentrée académique se pointe à l'horizon, jusqu'à ce jour, les enseignants du supérieur permanent accusent des arriérés de primes et indemnités se situant entre (4) et six (6) dans les établissements du supérieur, selon le syndicat. Les personnels contractuels et vacataire croupissent dans une misère sans pareille. Les enseignants et chercheurs retraités quant à eux totalisent onze (11) mois d'arriérés de pension. C'est dans ce climat morose, irresponsable et démotivant que doit se passer la journée internationale des enseignants, a déploré Dr. Guirayo Jérémie.
Par ailleurs, le bureau exécutif du SYNECS rappelle au gouvernement et aux autorités en charge de prendre leur responsabilité. "Vous avez intérêts à résoudre tous les problèmes au niveau de l'enseignement supérieur dans un bref délai afin d'éviter toute perturbation sur l'ensemble du territoire national lors de la rentrée académique prévue pour le 16 octobre 2017", a-t-il lancé en ces termes.
Le SYNECS appelle ses militants de toutes les sections à la mobilisation pour des actions de grandes envergures. Il tiendra pour seule responsable le gouvernement de tout ce qui adviendra. Il attache au prix de cette déclaration qui tient lieu de dernier avertissement.
La journée internationale des enseignants est une opportunité pour les enseignants du monde en général et ceux du Tchad de faire de la sensibilisation sur l'importance et le rôle des enseignants dans le système éducatif, tout en examinant la qualité des formateurs de par le monde.
Dr. Guirayo Jérémie, président du SYNECS, a dans sa déclaration liminaire indiqué qu'au Tchad, la journée internationale de l'enseignant est l'occasion de mettre l'accent sur le travail abattu, combien vital, le professionnalisme et l'implication des enseignants pour l'avancement de la société tchadienne.
Il rappelle que cette journée permet surtout de reconnaitre, de valoriser et de soutenir le travail abattu par des enseignants, et de leur fournir les meilleures conditions pour exercer leur profession. Il poursuit en estimant que c'est dans cette optique que le bureau exécutif national du SYNECS exhorte les enseignants à demeurer vigilants. Selon le bureau, les 16 mesures qui font la misère des fonctionnaires tchadiens, demeurent toujours en vigueur. Le SYNECS demande au gouvernement de lever purement et simplement ces mesures.
Pendant que la rentrée académique se pointe à l'horizon, jusqu'à ce jour, les enseignants du supérieur permanent accusent des arriérés de primes et indemnités se situant entre (4) et six (6) dans les établissements du supérieur, selon le syndicat. Les personnels contractuels et vacataire croupissent dans une misère sans pareille. Les enseignants et chercheurs retraités quant à eux totalisent onze (11) mois d'arriérés de pension. C'est dans ce climat morose, irresponsable et démotivant que doit se passer la journée internationale des enseignants, a déploré Dr. Guirayo Jérémie.
Par ailleurs, le bureau exécutif du SYNECS rappelle au gouvernement et aux autorités en charge de prendre leur responsabilité. "Vous avez intérêts à résoudre tous les problèmes au niveau de l'enseignement supérieur dans un bref délai afin d'éviter toute perturbation sur l'ensemble du territoire national lors de la rentrée académique prévue pour le 16 octobre 2017", a-t-il lancé en ces termes.
Le SYNECS appelle ses militants de toutes les sections à la mobilisation pour des actions de grandes envergures. Il tiendra pour seule responsable le gouvernement de tout ce qui adviendra. Il attache au prix de cette déclaration qui tient lieu de dernier avertissement.