Le collectif des avocats de l’activiste Babouri a animé ce samedi 26 mai 2018, à la Maison des Medias du Tchad, un point de presse pour exprimer sa gratitude à tous ceux qui ont contribué à l’obtention de la libération de son client.
Au cours de cette conférence, le collectif des avocats de l’activiste Babouri a envisagé d’agir contre l’Etat tchadien pour arrestation arbitraire, traitement inhumain et dégradant et séquestration de Babouri.
L’un de ses avocats, Me. Olivier Gouara a rapporté que son client Mayadine Babouri a subi des tortures atroces, des électrocutions et sévices corporelles qui ont nécessité trois opérations chirurgicales au niveau de l’œil, du poumon et de la hanche.
Il a déploré le fait que la première plainte déposée au parquet, il y a un an, n’ait pas abouti. Par ailleurs, il a relevé que le juge d’instruction qui était en charge de son dossier n’avait pourtant pas reçu l’instruction de l’envoyer à Koro Toro, ce qu’il a pourtant fait.
Selon Me. Olivier Gouara, le fait qu’il soit de la même ethnie que le président Deby a rendu son cas plus compliqué. Pour sa part, l’activiste Tchadien Mayadine Babouri a décrit les circonstances difficiles de sa détention en prison et entend continuer la lutte pour faire valoir ses droits.
Au cours de cette conférence, le collectif des avocats de l’activiste Babouri a envisagé d’agir contre l’Etat tchadien pour arrestation arbitraire, traitement inhumain et dégradant et séquestration de Babouri.
L’un de ses avocats, Me. Olivier Gouara a rapporté que son client Mayadine Babouri a subi des tortures atroces, des électrocutions et sévices corporelles qui ont nécessité trois opérations chirurgicales au niveau de l’œil, du poumon et de la hanche.
Il a déploré le fait que la première plainte déposée au parquet, il y a un an, n’ait pas abouti. Par ailleurs, il a relevé que le juge d’instruction qui était en charge de son dossier n’avait pourtant pas reçu l’instruction de l’envoyer à Koro Toro, ce qu’il a pourtant fait.
Selon Me. Olivier Gouara, le fait qu’il soit de la même ethnie que le président Deby a rendu son cas plus compliqué. Pour sa part, l’activiste Tchadien Mayadine Babouri a décrit les circonstances difficiles de sa détention en prison et entend continuer la lutte pour faire valoir ses droits.