Des cars immobilisés pour la journée de grève des transporteurs le lundi 22 janvier 2018. Alwihda Info
Le porte-parole du collectif des transporteurs du Tchad s'est exprimé hier à la sortie de la rencontre avec le chef du gouvernement, Pahimi Padacké Albert. La rencontre était axée sur l'annonce de nouvelles mesures gouvernementales pour faire face à la conjoncture économique.
"On attendait plus de réaction de la part du gouvernement, mais à notre grande surprise, on a qu'un seul point inscrit parmi les 13 au titre du ministère des infrastructures, du ministère de la sécurité publique, et du ministère du pétrole. Notre point principal qui est celui du carburant, n'a pas été évoqué. On reste disposé au dialogue", a déclaré le porte-parole du collectif des transporteurs du Tchad.
Selon lui, "on a lancé un préavis de grève qui va s'achever le lundi. Nous allons consulter la base pour les suites à donner. Vous savez que ce qui vient d'être annoncé ne concerne que seulement une partie de la population qui est celle de N'Djamena. Nous, nos principaux problèmes sont le carburant, notre représentation et les barrières anarchiques".
Toutefois, "les charges fixes du carburant n'ont pas été évoqués, par contre celles des barrières qui sont une charge aléatoire l'ont été. Elles ont toujours été délogées mais reviennent toujours. D'ici lundi, s'il n'y a pas une réaction concrète, nous sommes obligé de consulter la base pour une décision qui sera prise", a-t-il conclu.
"On attendait plus de réaction de la part du gouvernement, mais à notre grande surprise, on a qu'un seul point inscrit parmi les 13 au titre du ministère des infrastructures, du ministère de la sécurité publique, et du ministère du pétrole. Notre point principal qui est celui du carburant, n'a pas été évoqué. On reste disposé au dialogue", a déclaré le porte-parole du collectif des transporteurs du Tchad.
Selon lui, "on a lancé un préavis de grève qui va s'achever le lundi. Nous allons consulter la base pour les suites à donner. Vous savez que ce qui vient d'être annoncé ne concerne que seulement une partie de la population qui est celle de N'Djamena. Nous, nos principaux problèmes sont le carburant, notre représentation et les barrières anarchiques".
Toutefois, "les charges fixes du carburant n'ont pas été évoqués, par contre celles des barrières qui sont une charge aléatoire l'ont été. Elles ont toujours été délogées mais reviennent toujours. D'ici lundi, s'il n'y a pas une réaction concrète, nous sommes obligé de consulter la base pour une décision qui sera prise", a-t-il conclu.