Un an après l'assassinat d'Hadjé Haoua Abba, les assaillants courent toujours dans la nature sans être inquiétés. L'enquête n'avance pas et fait du sur-place. Depuis un an, les autorités judiciaires et sécuritaires ont pris en main l'enquête pouvant aboutir à l'arrestation et à la condamnation de ces criminels sans état d'âme ; Mais aucune arrestation, aucune perquisition et aucune avancée n'ont été mentionnées par les autorités en charge du dossier.
Le porte-parole de la défunte Hadjé Haoua Abba, Ibrahim Mahamat Ibrahim a fait un point de presse, samedi après-midi, au domicile de la défunte, au Diguel Centre de la ville de Ndjamena lors du sacrifice annuel, afin de "faire le point sur cette situation macabre".
"Alors que les auteurs d'autres actes criminels sont régulièrement arrêtés, exhibés à la télévision, les assassins de notre mère courent toujours. Notre famille n'a aucune idée de se qui se passe à la justice et elle n'est pas renseigné des avancées", s'indigne la famille.
La défunte avait été abattu le 10 février 2014 par sept individus armés, pendant qu'elle rentrait du marché le soir, accompagnée de sa fille. La grande partie des marchandises dérobées par les assassins de Hadjé Haoua Abba appartenaient à ses fournisseuses. Les créancières s'impatientent et rendent la vie difficile à la famille. Le silence du coté des autorités et de la justice ont accentué les choses. La famille reçoit des dizaines d'appels téléphoniques par jour de la part des créancières et assez souvent des menaces.
Les organisations internationales, organisations non gouvernementales, les associations de la société civiles sont interpellés par la famille afin de venir à leur secours, "tant matériellement, financièrement, que judiciairement pour que la famille de la défunte Hadjé Haoua Abba puisse s'acquitter de ses créances".
Le porte-parole de la défunte Hadjé Haoua Abba, Ibrahim Mahamat Ibrahim a fait un point de presse, samedi après-midi, au domicile de la défunte, au Diguel Centre de la ville de Ndjamena lors du sacrifice annuel, afin de "faire le point sur cette situation macabre".
"Alors que les auteurs d'autres actes criminels sont régulièrement arrêtés, exhibés à la télévision, les assassins de notre mère courent toujours. Notre famille n'a aucune idée de se qui se passe à la justice et elle n'est pas renseigné des avancées", s'indigne la famille.
La défunte avait été abattu le 10 février 2014 par sept individus armés, pendant qu'elle rentrait du marché le soir, accompagnée de sa fille. La grande partie des marchandises dérobées par les assassins de Hadjé Haoua Abba appartenaient à ses fournisseuses. Les créancières s'impatientent et rendent la vie difficile à la famille. Le silence du coté des autorités et de la justice ont accentué les choses. La famille reçoit des dizaines d'appels téléphoniques par jour de la part des créancières et assez souvent des menaces.
Les organisations internationales, organisations non gouvernementales, les associations de la société civiles sont interpellés par la famille afin de venir à leur secours, "tant matériellement, financièrement, que judiciairement pour que la famille de la défunte Hadjé Haoua Abba puisse s'acquitter de ses créances".