Le président de l'Union des Mouvements Républicains, M. Idriss Annour Abdelkerim a dénoncé, lors d'une conference de presse tenue, hier, jeudi, au Musée National, une tentative de dissolution par certaines personnalités influentes en introduisant une requête auprès de la cour suprême pour faire disparaître son parti de l'échiquier national. Avant d'ajouter que tout ceci serait entrain de se faire à l'insu du président de la République qui n'admettrait pas, selon nos informations, des actes qui ont tendance à discréditer son engagement democratique.
« Si nous présentons un nouveau bureau aujourd'hui, c'est justement par ce que l'UMR et ses membres subissaient des harcèlements de toutes sortes depuis le lancement de nos activités. Cela a conduit certains de nos camarades à jeter l'éponge malgré leurs convictions mais nous les comprenons. Un groupe de personnes y compris des membres du gouvernement ont adressé une requête de dissolution à la cour suprême avec des documents falsifiés et de rapport truqué», a déclaré le président de l'Union des Mouvements Républicains, M. Idriss Annour Abdelkrim.
Les autorités lui reprochent officiellement entre autres de fonctionner dans l'illégalité, mais d'être aussi un agent de sécurité qui n'est pas habilité à créer un parti, selon la loi tchadienne. D'après d'autres indiscrétions, le président de ce parti souffrirait à cause de son appartenance ethnique avec le président de la République qui serait à l'origine de toutes ces menaces.
« Si nous présentons un nouveau bureau aujourd'hui, c'est justement par ce que l'UMR et ses membres subissaient des harcèlements de toutes sortes depuis le lancement de nos activités. Cela a conduit certains de nos camarades à jeter l'éponge malgré leurs convictions mais nous les comprenons. Un groupe de personnes y compris des membres du gouvernement ont adressé une requête de dissolution à la cour suprême avec des documents falsifiés et de rapport truqué», a déclaré le président de l'Union des Mouvements Républicains, M. Idriss Annour Abdelkrim.
Les autorités lui reprochent officiellement entre autres de fonctionner dans l'illégalité, mais d'être aussi un agent de sécurité qui n'est pas habilité à créer un parti, selon la loi tchadienne. D'après d'autres indiscrétions, le président de ce parti souffrirait à cause de son appartenance ethnique avec le président de la République qui serait à l'origine de toutes ces menaces.