Dans son exposé, le Maire Doumsengar a identifié les causes de cette mauvaise récolte, attribuées à des facteurs naturels et humains. Il a notamment souligné les dégâts causés par les animaux domestiques dans les champs, aggravés par l'arrivée précoce des éleveurs. Cette situation a contraint les autorités, enseignants et élèves à passer des nuits dans les champs pour protéger les cultures, affectant ainsi l'administration locale et perturbant le système éducatif, notamment par l'absence d'élèves en classe.
Le Maire a également pointé du doigt le comportement de certains éleveurs influents, dont des commandants de légion et de la gendarmerie, qui emploient des bouviers agressifs posant des menaces constantes aux agriculteurs. Il a cité le cas du village de Koutou Kagbe, où un éleveur a laissé ses bœufs brouter dans un champ de sorgho, causant un préjudice considérable à une agricultrice impuissante.
Face à cette crise, le Maire Doumsengar appelle les autorités compétentes à protéger les champs, surtout pendant la phase de récolte, pour prévenir une famine dans la commune de Bébédjia. Il encourage un changement de comportement et de mentalité et invite les autorités locales à s'engager davantage, mentionnant plusieurs cas de conflits non résolus.
Il est impératif, selon le Maire, de bien gérer les faibles récoltes qui seront obtenues afin de faire face à la famine qui se profile.
Le Maire a également pointé du doigt le comportement de certains éleveurs influents, dont des commandants de légion et de la gendarmerie, qui emploient des bouviers agressifs posant des menaces constantes aux agriculteurs. Il a cité le cas du village de Koutou Kagbe, où un éleveur a laissé ses bœufs brouter dans un champ de sorgho, causant un préjudice considérable à une agricultrice impuissante.
Face à cette crise, le Maire Doumsengar appelle les autorités compétentes à protéger les champs, surtout pendant la phase de récolte, pour prévenir une famine dans la commune de Bébédjia. Il encourage un changement de comportement et de mentalité et invite les autorités locales à s'engager davantage, mentionnant plusieurs cas de conflits non résolus.
Il est impératif, selon le Maire, de bien gérer les faibles récoltes qui seront obtenues afin de faire face à la famine qui se profile.