D'après les jeunes, le discours prononcé et les dépliants indiquent que le canton Migami de la Commune de Baro est limité au Nord par le canton Kouka Koundjourou (Batha), a l'Est par le Canton Dadjo Il, au Sud par le canton Dogangué et à l'Ouest par le canton Dadjo I. Ce qui signifie que le canton Dadjo nord n'existe pas ou qu'il est inclus dans le canton Migami, affirment les jeunes.
Ils trouvent cela inconcevable. Pour eux, cette délimitation annoncée du Canton Migami est injuste et va à l'encontre des intérêts et de la volonté des populations de cette localité.
Par consequent, les jeunes de la communauté Dadjo, représentés par différentes associations, réclament des clarifications sur cette déclaration. Les jeunes réclament aussi des sanctions contre les auteurs de ce dépliant provocateur qui incite la haine tribale et perturbe la quiétude et le vivre ensemble dans la province du Guera.
Ils sollicitent l'intervention des services compétents du ministère de l'Administration du territoire et de la Décentralisation afin d'agir promptement pour délimiter clairement et de manière concertée les cantons et les communes nouvellement créés dans le département du Guera pour éviter des conflits intercommunautaires à cause des litiges fonciers.
Ils trouvent cela inconcevable. Pour eux, cette délimitation annoncée du Canton Migami est injuste et va à l'encontre des intérêts et de la volonté des populations de cette localité.
Par consequent, les jeunes de la communauté Dadjo, représentés par différentes associations, réclament des clarifications sur cette déclaration. Les jeunes réclament aussi des sanctions contre les auteurs de ce dépliant provocateur qui incite la haine tribale et perturbe la quiétude et le vivre ensemble dans la province du Guera.
Ils sollicitent l'intervention des services compétents du ministère de l'Administration du territoire et de la Décentralisation afin d'agir promptement pour délimiter clairement et de manière concertée les cantons et les communes nouvellement créés dans le département du Guera pour éviter des conflits intercommunautaires à cause des litiges fonciers.