Des excréments et vieilles bouteilles d'eau jonchent le sol, dès que l'on ouvre les portes de certaines toilettes d'institutions d'Etat. Une odeur puante chatouille les narines, offrant une circonstance désagréable aux utilisateurs de ces toilettes.
Une situation qui suscite le manque d'entretien des toilettes dans certaines institutions. L'exemple flagrant que l'on peut pointer du doigt réside dans les toilettes des maisons du patrimoine culturel du Tchad.
Pourtant, les toilettes jouent un rôle très important dans les institutions, le manque d'entretien de ces endroits, dans certaines institutions tchadiennes, suscite une question de manque d'hygiène et la banalisation de ces espaces. Certaines de ces latrines ne sont pas vidées une fois remplies, les selles sont faites à même le sol, ainsi ne disposant pas des papiers hygiéniques, les bouteilles d'eau utilisées sont abandonnées surplace.
Les excréments mélangés à l'urine rendent ces endroits inutilisables, ce qui offre le choix aux usagers de contourner les toilettes pour faire leur besoin à l'air libre. Une circonstance qui permet une fois de plus à questionner l'éducation, par rapport à l'enseignement de l'hygiène dans les écoles et dans les familles.
On dit pourtant que la propreté chasse la maladie, mais avec de telles circonstances flagrantes de manque d'hygiène dans les toilettes, cette réalité ne semble pas être chez certains citoyens tchadiens. Bien que dans certaines institutions les toilettes semblent plus ou moins entretenues.
Cela suscite également une campagne de sensibilisation des citoyens sur l'importance de prendre soin des toilettes, du fait que cette règle semble oublier par certains individus.
Une situation qui suscite le manque d'entretien des toilettes dans certaines institutions. L'exemple flagrant que l'on peut pointer du doigt réside dans les toilettes des maisons du patrimoine culturel du Tchad.
Pourtant, les toilettes jouent un rôle très important dans les institutions, le manque d'entretien de ces endroits, dans certaines institutions tchadiennes, suscite une question de manque d'hygiène et la banalisation de ces espaces. Certaines de ces latrines ne sont pas vidées une fois remplies, les selles sont faites à même le sol, ainsi ne disposant pas des papiers hygiéniques, les bouteilles d'eau utilisées sont abandonnées surplace.
Les excréments mélangés à l'urine rendent ces endroits inutilisables, ce qui offre le choix aux usagers de contourner les toilettes pour faire leur besoin à l'air libre. Une circonstance qui permet une fois de plus à questionner l'éducation, par rapport à l'enseignement de l'hygiène dans les écoles et dans les familles.
On dit pourtant que la propreté chasse la maladie, mais avec de telles circonstances flagrantes de manque d'hygiène dans les toilettes, cette réalité ne semble pas être chez certains citoyens tchadiens. Bien que dans certaines institutions les toilettes semblent plus ou moins entretenues.
Cela suscite également une campagne de sensibilisation des citoyens sur l'importance de prendre soin des toilettes, du fait que cette règle semble oublier par certains individus.