La première visite a eu lieu sur le chantier de réhabilitation de l'avenue du Général Moussa Sougui et de la rue du 26 Août. C'est un projet presque achevé par la société Sogea Satom et financé sur le budget de l'État, sous le contrôle de la Direction de la Voirie Urbaine.
C'était un moment de joie et de satisfaction pour les femmes envers leurs sœurs ingénieurs, conductrices de Caterpillar, contrôleuses et suiveuses de travaux, qui étaient en pleine activité professionnelle sous le soleil. Ces femmes professionnelles, sorties de l'École Nationale des Travaux Publics (ENTP), sont fières de leur métier d'ingénieur.
Halimé Souleymane, Ingénieur en Travaux Publics, a déclaré : "J'exerce ce métier depuis 2010 dans la société Satom. Je suis responsable du suivi des travaux et je gère également les matériels. L'ingénieur ne doit pas seulement être au bureau, mais aussi sur le terrain pour superviser les travaux. Mon statut de femme au foyer n'est pas un frein à ma profession. Je m'en sors très bien."
C'était un moment de joie et de satisfaction pour les femmes envers leurs sœurs ingénieurs, conductrices de Caterpillar, contrôleuses et suiveuses de travaux, qui étaient en pleine activité professionnelle sous le soleil. Ces femmes professionnelles, sorties de l'École Nationale des Travaux Publics (ENTP), sont fières de leur métier d'ingénieur.
Halimé Souleymane, Ingénieur en Travaux Publics, a déclaré : "J'exerce ce métier depuis 2010 dans la société Satom. Je suis responsable du suivi des travaux et je gère également les matériels. L'ingénieur ne doit pas seulement être au bureau, mais aussi sur le terrain pour superviser les travaux. Mon statut de femme au foyer n'est pas un frein à ma profession. Je m'en sors très bien."
Après la visite de l'avenue Général Moussa Sougui, elles se sont rendues sur le deuxième chantier, l'avenue Rue Contiguës, Farcha Millezzi. La présidente de l'organisation de cette visite, Fatime Mahamat Herbama, s'est dite satisfaite : "Nous sommes venues ce matin pour apporter notre soutien moral à nos collègues travaillant sur les chantiers. Les femmes sont capables de faire le même travail que les hommes. Nous les encourageons vivement. Nous sommes satisfaites de la qualité du travail accompli."
Ces femmes estiment que les infrastructures routières et la question du genre sont liées et constituent une clé pour le développement du Tchad. Elles sont présentes un peu partout dans les chantiers et les bureaux d'études et encouragent et soutiennent la politique de désenclavement et la question du genre pour le bien-être du Tchad.
Ces femmes estiment que les infrastructures routières et la question du genre sont liées et constituent une clé pour le développement du Tchad. Elles sont présentes un peu partout dans les chantiers et les bureaux d'études et encouragent et soutiennent la politique de désenclavement et la question du genre pour le bien-être du Tchad.