Devant l’ex-hôtel Santana, devenue la direction générale des mines et du commerce au quartier Abena dans le 7ème arrondissement, ont assiste à un ballet d’engins à deux ou quatre roues. Certains en direction de l'Ouest et d’autre vers l’Est. Tout à côté,un point de recharge de la Société nationale d’électricité (SNE) ploie sous les déchets ménagers de tout genre.
À l'approche de cette poubelle, une odeur nauséabonde agresse les narines. Dans cette odeur qui est étouffante, apparait deux garçons. L’un agé d'à peine 14 ans et l’autre 15 ans. « Qu’est -ce qu’ils pensent trouver de bon dans cette poubelle », s’étonne une dame qui vient de descendre d'un bus de transport en commun.
Entre temps, les deux garçons se jettent sur le tas d’immondices sans la moindre hésitation. On assiste à une séance de tri des débris de canettes vides, d’objects en fer, d’aluminium, des épaves d’appareils électroménagers et tant d’autres objets réutilisables. Ils sont nombreux à parcourir les rues de la capitale à la recherche de ces objets qu’ils nettoient afin de les revendre pour subvenir à leurs besoins, pendant que les autres enfants sont dans les salles de classe.
« C’est de ça que je vis, c'est mieux que d’aller voler », témoigne Marius, 15 ans. « Beaucoup de gens nous prennent pour des bandits et voleurs, nous faisons cela pour trouver de quoi à manger », renseigne son camarade. Parmi ces enfants, il y a des orphelins et des enfants ayant des parents à mobilité réduite qui font le tri d'objets réutilisables pour subvenir et vivre simplement.
Mais cette activité s'élargit également à d'autres domaines, et cela ne donne pas de chance à ces enfants d'aller à l'école. Le bémol dans cette situation est que cet argent ne sert qu'à faire des jeux vidéo et aller au cinéma. "Il n'y a personne pour nous prendre en charge comme les autres enfants. Les parents ont de la peine à nous satisfaire. Nous avons jugé que c'est mieux d'aller trier des objects et les revendre", souligne Yacoub Aldo.
La situation est beaucoup plus alarmante à travers la ville de N'Djamena. Ces enfants, généralement à fleur d'âge, n'ont pas d'autres choix que d'aller fouiller dans les poubelles pour subvenir à leurs besoins quotidiens.
À l'approche de cette poubelle, une odeur nauséabonde agresse les narines. Dans cette odeur qui est étouffante, apparait deux garçons. L’un agé d'à peine 14 ans et l’autre 15 ans. « Qu’est -ce qu’ils pensent trouver de bon dans cette poubelle », s’étonne une dame qui vient de descendre d'un bus de transport en commun.
Entre temps, les deux garçons se jettent sur le tas d’immondices sans la moindre hésitation. On assiste à une séance de tri des débris de canettes vides, d’objects en fer, d’aluminium, des épaves d’appareils électroménagers et tant d’autres objets réutilisables. Ils sont nombreux à parcourir les rues de la capitale à la recherche de ces objets qu’ils nettoient afin de les revendre pour subvenir à leurs besoins, pendant que les autres enfants sont dans les salles de classe.
« C’est de ça que je vis, c'est mieux que d’aller voler », témoigne Marius, 15 ans. « Beaucoup de gens nous prennent pour des bandits et voleurs, nous faisons cela pour trouver de quoi à manger », renseigne son camarade. Parmi ces enfants, il y a des orphelins et des enfants ayant des parents à mobilité réduite qui font le tri d'objets réutilisables pour subvenir et vivre simplement.
Mais cette activité s'élargit également à d'autres domaines, et cela ne donne pas de chance à ces enfants d'aller à l'école. Le bémol dans cette situation est que cet argent ne sert qu'à faire des jeux vidéo et aller au cinéma. "Il n'y a personne pour nous prendre en charge comme les autres enfants. Les parents ont de la peine à nous satisfaire. Nous avons jugé que c'est mieux d'aller trier des objects et les revendre", souligne Yacoub Aldo.
La situation est beaucoup plus alarmante à travers la ville de N'Djamena. Ces enfants, généralement à fleur d'âge, n'ont pas d'autres choix que d'aller fouiller dans les poubelles pour subvenir à leurs besoins quotidiens.