L'ONG ADEHUS est une organisation apolitique à but non lucratif. Elle œuvre pour la consolidation de la paix, le vivre ensemble, la promotion du leadership et entend donner sa contribution sur le développement socioéconomique du Tchad.
Brahim Tidjani indique qu'avec la tension sociopolitique que traverse le Tchad, notamment les conflits agriculteurs et éleveurs, l'ethnocentrisme, le régionalisme ou encore la ségrégation de tout genre, il faut inverser la tendance pour que tous les tchadiens vivent en symbiose, dans la solidarité et le pardon.
"Que nous soyons du Nord ou du Sud, de l'Est ou de l'Ouest, nous sommes tous des tchadiens ayant les mêmes droits et devoirs", insiste Brahim Tidjani Djimet.
À l'approche du dialogue national inclusif, Brahim Tidjani Djimet pose le débat sur la lutte contre le régionalisme. "Nous voulons que le sudiste qui est né au Nord, à l'Est ou à l'Ouest puisse représenter la province dans laquelle il est né. Cela est valable aussi pour le nordiste né au Sud, à l'Est ou à l'Ouest", plaide-t-il. Que se soit dans le gouvernement, au parlement ou à la tête d'une commune.
Pour lui, "c'est ainsi qu'on pourra parler de la réconciliation nationale, de la consolidation de la paix, du pardon, et du vivre ensemble entre tous les fils du Tchad" car "après tout, le Tchad est un patrimoine commun où tous les fils et filles doivent se battre contre le régionalisme, l'ethnocentrisme (...) sans distinction d'origine, de religion, de sexe et ou d'appartenance politique".
Brahim Tidjani indique qu'avec la tension sociopolitique que traverse le Tchad, notamment les conflits agriculteurs et éleveurs, l'ethnocentrisme, le régionalisme ou encore la ségrégation de tout genre, il faut inverser la tendance pour que tous les tchadiens vivent en symbiose, dans la solidarité et le pardon.
"Que nous soyons du Nord ou du Sud, de l'Est ou de l'Ouest, nous sommes tous des tchadiens ayant les mêmes droits et devoirs", insiste Brahim Tidjani Djimet.
À l'approche du dialogue national inclusif, Brahim Tidjani Djimet pose le débat sur la lutte contre le régionalisme. "Nous voulons que le sudiste qui est né au Nord, à l'Est ou à l'Ouest puisse représenter la province dans laquelle il est né. Cela est valable aussi pour le nordiste né au Sud, à l'Est ou à l'Ouest", plaide-t-il. Que se soit dans le gouvernement, au parlement ou à la tête d'une commune.
Pour lui, "c'est ainsi qu'on pourra parler de la réconciliation nationale, de la consolidation de la paix, du pardon, et du vivre ensemble entre tous les fils du Tchad" car "après tout, le Tchad est un patrimoine commun où tous les fils et filles doivent se battre contre le régionalisme, l'ethnocentrisme (...) sans distinction d'origine, de religion, de sexe et ou d'appartenance politique".