Le Tchad dispose d'une panoplie de textes législatives et réglementaires axés sur la lutte contre la traite des personnes, a rappelé Jean-Claude Bachirahishize, représentant de l'OIM. Il s'agit notamment de la loi du 12 juin 2018, du décret de février 2021 mettant en place la Commission nationale de lutte contre la traite des personnes et de deux arrêtés mettant en place un comité technique multisectoriel de lutte contre le trafic illicite des migrants et la traite des personnes.
La formation participative s'attelle à fournir des connaissances théoriques et pratiques sur la lutte contre la traite au regard de la loi tchadienne. "Il ne suffit pas seulement qu'une loi soit promulguée. Il faut aussi qu'elle soit disséminée auprès des destinataires finaux, justiciables et pourvoyeurs de justice", a relevé Jean-Claude Bachirahishize.
De son côté, Rotta Dingamadji Carlos, point focal des travaux sur la traite des personnes au ministère de la Justice, a déploré le fait que des jeunes sont mobilisés pour partir vers le Nord au faux prétexte que le bonheur se trouverait là-bas. "Ils ne savent pas qu'ils vont pour être exploités, pour être soumis à des incertitudes", a-t-il dit.
La formation participative s'attelle à fournir des connaissances théoriques et pratiques sur la lutte contre la traite au regard de la loi tchadienne. "Il ne suffit pas seulement qu'une loi soit promulguée. Il faut aussi qu'elle soit disséminée auprès des destinataires finaux, justiciables et pourvoyeurs de justice", a relevé Jean-Claude Bachirahishize.
De son côté, Rotta Dingamadji Carlos, point focal des travaux sur la traite des personnes au ministère de la Justice, a déploré le fait que des jeunes sont mobilisés pour partir vers le Nord au faux prétexte que le bonheur se trouverait là-bas. "Ils ne savent pas qu'ils vont pour être exploités, pour être soumis à des incertitudes", a-t-il dit.