Le Forum citoyen d'échanges sur la situation politique au Tchad a pris fin ce 26 juillet au CEFOD. Il a été organisé par le Comité de suivi de l'appel à la paix et à la réconciliation (CSAPR).
Après la mise en place du Conseil militaire de transition (CMT), pour assurer la transition, les acteurs de la société civile se sont réunis pour réfléchir autour de la question de la période transitoire que connaît le pays.
À l'issue de cette réflexion, l'Observatoire citoyen de la transition a été créé. Il a pour rôle de, veiller sur ce qui passe pendant cette transition, dénoncer les manquements constatés, et faire de propositions, explique Nodjitoloum Salomon, président de l'Observatoire.
Au terme du Forum citoyen, les participants s'accordent à contribuer au dialogue national inclusif, et acceptent le fait que la transition puisse être prolongée avec une période bien définie et limitée.
Car, selon eux, la vraie transition commence après le prochain dialogue. Ils acceptent de participer à cette grande rencontre, à condition qu'elle soit souveraine, inclusive et que les personnes qui seront désignées à faire partie du présidium, le soient par consensus.
« Pendant ce dialogue, une nouvelle charte de transition doit être rédigée et elle doit faire clairement mention de la non-éligibilité de ceux qui dirigent la transition. Cela doit être noté, noir sur blanc », affirme Nodjitoloum Salamon. Et d'ajouter que « la communauté internationale doit désigner un facilitateur indépendant afin de suivre, et de veiller sur l'application des résolutions qui seront prises lors du dialogue ».
Après la mise en place du Conseil militaire de transition (CMT), pour assurer la transition, les acteurs de la société civile se sont réunis pour réfléchir autour de la question de la période transitoire que connaît le pays.
À l'issue de cette réflexion, l'Observatoire citoyen de la transition a été créé. Il a pour rôle de, veiller sur ce qui passe pendant cette transition, dénoncer les manquements constatés, et faire de propositions, explique Nodjitoloum Salomon, président de l'Observatoire.
Au terme du Forum citoyen, les participants s'accordent à contribuer au dialogue national inclusif, et acceptent le fait que la transition puisse être prolongée avec une période bien définie et limitée.
Car, selon eux, la vraie transition commence après le prochain dialogue. Ils acceptent de participer à cette grande rencontre, à condition qu'elle soit souveraine, inclusive et que les personnes qui seront désignées à faire partie du présidium, le soient par consensus.
« Pendant ce dialogue, une nouvelle charte de transition doit être rédigée et elle doit faire clairement mention de la non-éligibilité de ceux qui dirigent la transition. Cela doit être noté, noir sur blanc », affirme Nodjitoloum Salamon. Et d'ajouter que « la communauté internationale doit désigner un facilitateur indépendant afin de suivre, et de veiller sur l'application des résolutions qui seront prises lors du dialogue ».